Interview de joueurs
sur Tartofrez
Contient : archipel (3)(...) Julien : A cette époque, le pays est dévasté par deux siècles de guerres civiles et trouve encore le moyen de s'infliger une nouvelle vague de violence. Ashurei : La dernière « crise » en date est la mort de l'homme régnant sur la majeure partie de l'archipelà ce moment là : Oda Nobunaga. Virginie : Le japon médiéval est à feu et à sang, les luttes de clans sont incessantes, les joueurs incarnent des gens ordinaires dont l'ambition les amène à affronter de multiples danger. (...)
Julien : Impitoyable : chacun trahi, assassine et envahie son voisin sans le moindre scrupule, avec pour seul inquiétude de survivre à la tempête qui souffle sur l'archipel. > Heuhh : Quel est pour vous, le point original du jeu ? Franck : C'est justement ce côté historique, bien ancrée dans une période spécifique du japon médiéval (avec ces européens, arrivées depuis peu, le développement des mousquets, la mise en place de certains codes, etc...) qui rend le jeu intéressant car il nous permet de mieux appréhender ce pays à cette époque là. (...)
(qui le rend attrayant à vos yeux) Ashurei : L'époque choisie, fait qu'il est avant tout un jeu où les décisions que prennent les joueurs sont capitales, le Japon est très instable et en mutation perpétuelle. On est très loin de l'idéal fantasmé qu'un occidental se fait de l'archipelnippon. Dans Tenga, il n'y a pas de manichéisme ou de jugement de valeur, le joueur doit avant tout prendre des décisions pour survivre et surtout éviter de se voir imposer un destin qu'il n'a pas choisi. (...)Cet article est paru initialement sur Ikosa.net. Il a été conservé ici à fin d'archivage. Voici le deuxième article concernant Tenga, on a trouvé intéressant de poser quelques questions aux joueurs afin d'en savoir un peu plus sur la bête. Pour cela nous avons eu accès au cercle très très fermé des testeurs de Tenga, grâce à d'anonymes infiltrateurs. De plus, vous trouverez en fin d'interview une petite analyse personelle de leur réponse. Préalablement, on tient à préciser qu'on ne pose que ...