De Profundi
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Sypnosis : Il y a 500 ans une guerre terrible se déchaîna à Métropolis entre Malkuth et un archante de Hod extrêmement puissant Yaagshir (esprit perverti de la nuit qui protège les criminels). Celui-ci fut capturé et enfermé dans un crystal, dans un des édifices de Métropolis. Il y a 12 ans, un groupe d'étudiant (nos PJ) et leur professeur partirent au delà de la mort et échouèrent à Métropolis ou, par inadvertance libérèrent Yaagshir, qui se divisa et entra dans le corps de nos étudiants ...Contient : couteau (6)(...) Le thé a un goût bizarre, c'est une tisane à la camomille avec un peu de thé vert d'Inde. Aux questions posés par les joueurs: - Ah! lecouteau... c'est monsieur Montreuil qui me l'avait demandé, apparemment il faisait la collection. - Mr Montreuil était un jeune homme très bien (série d'éloge). (...)
Les PJs fuient et se retrouvent dans la maison en ruines. Le rêve d'Alex Maruta : Il se tient nu, au milieu d'une ruelle déserte, dans sa main lecouteaude Frédéric. Une ombre passe. Il est un prédateur, cette force immense qu'il ressent lorsque, d'un coup, il éclate l'homme, avec quelle adresse il a donné ce coup, que ce sang est doux. (...)
Jérôme Dumain reçoit un coup de fil de sa femme, lui demandant de venir immédiatement, elle est hystérique. Elle vient de découvrir sous une lattes du plancher... uncouteau, qu'un masque grossièrement cousu ainsi que deux flacons contenant un coeur et une langue, à moitié dévorés. (...)
L'enfant a peur, très peur et crie lorsque l'autre créature, nu sauf un masque qui couvre son visage, lui plante lecouteauplusieurs fois à la suite et retire le coeur et croque dedans. Les PJs se réveillent... à eux d'agir (sans doute direction rue de la boucherie). (...)
Quelqu'un bouge dans le noir, un enfant, 'Ca a la peau si douce et le coeur si pur.' se dit-il en levant lecouteauqui s'abat sur l'enfant. Lecouteauplonge si profondément, que des flots de sang jaillissent de ce corps, surtout lorsqu'il retire le coeur, le sang se mêle à l'eau qui coule dans les canalisations, et le coeur, quel goût sublime... (...)