Les mille Dangers de la Route
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Contient : villages (7)(...) On parle ainsi de groupes de militaires se faisant passer pour des soldats en fonction, pour piocher dans les réserves desvillagesqu'ils traversent, ou pour organiser des péages improvisés sur les routes écartées. Le pire excès dans ce genre a été la tentative de prise de pouvoir sur les ruines de Wolfenburg par une bande de déserteurs particulièrement organisés et commandés par un ancien capitaine de l'armée ostlander. (...)
C'est la même chose pour les fermes isolées, les auberges relais, sur les routes et les fleuves, mais aussi lesvillagesaux défenses trop faibles, sans mur d'enceinte par exemple, ou avec des effectifs de gardes trop réduits ou vieillissants. (...)
Cela donne aux bonnes gens de l'Empire le sentiment qu'ils ne sont nulle part à l'abri, pas même dans leurs propresvillageset demeures. C'est très grave, cela peut conduire le peuple à la révolte, et pour nous patrouilleurs, cela signifie l'échec véritable. Si les brigands s'en prennent auxvillages, imaginez l'état des routes. La peur est une arme qui a de tout temps été exploitée par les ennemis de l'homme, quels qu'ils soient, et lorsque l'homme lui-même en fait usage, il n'en est plus vraiment un selon moi, c'est pour ça que je vous exhorte à ne faire preuve d'aucune pitié si vous êtes à l'avenir confrontés à des bandes qui saccagent des fermes et desvillages. L'infiltration discrète : Les brigands moins sanguinaires ou moins sûrs d'eux préfèrent à l'attaque en masse les méthodes d'infiltration et de pillage discret. (...)
Ce sont parfois de véritables cambrioleurs des campagnes, ces lascars, qui n'hésitent pas à rentrer dans les fermes en pleine nuit après avoir escaladé les clôtures, à détrousser les clients des auberges durant la nuit ou à forcer les portes des écuries de ces établissements pour y dérober chevaux et bagages des voyageurs. Certaines bandes de tailles importantes vont même jusqu'à piller desvillagesentiers de la sorte, en prenant tout ce qui n'est pas gardé après s'être introduits dans les murs par la ruse, et s'enfuyant aux premiers signes de danger. (...)
Sigmar nous préserve de savoir d‘où ils tirent leurs stratégies, mais ce qui marche sur un chemin de forêt est tout aussi efficace quand ils s'en prennent à desvillagesou des fermes. La diversion fait partie de ce genre d'adaptation de stratégie. Les brigands attaquent rarement sans raison une communauté. (...)« Eh non, petits, je ne vais pas du tout vous parler des patrouilleurs. Vous avez fait votre temps à la caserne d'entraînement, maintenant c'est la route qui vous attend. Z'en savez assez sur nous, c'est eux que vous allez devoir apprendre à connaître maintenant. Il faut dire qu'on les connaît bien, à force d'avoir affaire à de tels sacripants. Même eux ne se connaissent pas aussi bien que nous les connaissons. Dans le métier, on est confronté à toutes sortes de dangers ...