Être une femme pendant la Belle-Époque
Contient : sagesse(...) LA SAGE-FEMME : 'Je vous soigne avec expérience, Au moment de votre naissance'. LA MAITRESSE D'ECOLE : 'Aux filles pendant leur jeunesse, J'enseigne vertus etsagesse'. LA MARCHANDE : 'Des femmes avec habileté, J'augmente et pare la beauté'. LA SERVANTE : 'Je couds, blanchis et sers à table, Aussi je suis indispensable'. (...)Il convient tout d'abord de préciser que cet article est centré sur la situation des femmes françaises qui, même si l'on remarque quelques améliorations au cours de la période, n'est guère enviable dans bien des domaines. La plupart des femmes ont en effet une existence de soumission et de dépendance au monde masculin et sont, pour reprendre la formulation employée par Maurice Hauriou, dans une note parue dans le Recueil général de lois et des arrêts , fondé par J-B.Sirey, un « citoyen inexistant ...