Le Bal de François Villon
sur Eric Christ au format (868 Ko)
Dans scénario, les PJ vont interpréter de puissant caïnites. Ils devront donc agir en conséquence, c'est à dire être des modèles en société, donner des ordres à leurs subalternes et surtout, essayer de gagner (ou de conserver) du pouvoir. Votre rôle sera d'aider les PJ, en essayant de faire de cette soirée une soirée politique et non une soirée enquête. Ce scénario va décrire une suite d'événement et les PJ par leur statut et leurs obligations ne pourront pas faire eux même ...Contient : protection (5)(...) François Villon est trop bien gardé et possède le gros avantage de maîtriser le monde moderne et ses outils (armes, matériel de surveillance, humains...). Il fallait donc qu'il trouve un moment où saprotectionserait plus légère. Ne manquant pas de panache, Adrian Xénafosse décida que le bal était l'instant parfait pour son opération. (...)
L'incident qui s'y déroulera va beaucoup préoccuper les Tremeres qui vont chercher à trouver qui a réussi à percer leurprotectionmagique. Autres protagonistes : La ville de Paris à dans ses rangs de nombreux (environ 100 permanents) Caïnites. (...)
Le PJ Assamite n'est pas au courant de cette raison et le vizir fera tout pour le garder dans l'ignorance. Si l'Assamite ne joue pas son rôle deprotectionn'hésitez pas la à faire attaquer par un caïnite ayant eu vent des objectifs de sa venue et opposé à l'intégration des Assamites. (...)
Le Ventru possède une villa dans la banlieue de Paris, il est allié aux anarchs et c'est par lui qu'ils arrivent à se fournir en arme militaire. En échange les anarchs lui rendent certains services, dont assurer saprotection. Une fois le ventru attrapé, s'il est toujours vivant, il peut être emmené devant François Villon. (...)
Début du scénario : 15 janvier 1994 Réunion du primogène pour préparer la fête. Shirido Huto (PJ Gangrel) se vo it confié la sécurité de la manifestation et Arraq Al'Rashan laprotectiondu vizir Assamite. 05 février 1994 Mathieu Bourville, Toréadore, est enlevé de chez lui par 4 hommes masqués. (...)