Maraudeur n°6 : Les sciences divinatoires dans Achéron
- Deuxième partiesur Studio09 au format
Contient : communautés (3)(...) Avant l'intérêt des spirites pour ce genre de phénomènes, on présuppose que la majorité des détenteurs de cette capacité furent considérés comme des fous ou pire, des oiseaux de mauvais augures, que l'on s'empressait de chasser descommunautés. Livrés à eux-même, hantés par des visions souvent morbides, la santé mentale de ces témoins de destins tragiques fût souvent mise à rude épreuve, sans compter l'insidieux sentiment de culpabilité et d'impuissance à laquelle ils devaient régulièrement faire face. Dans la majorité des cas, sous la pression sociale tacite de leurscommunautés, les jeunes médiums se rétractaient jusqu'à occulter complètement leur don avec plus ou moins de succès. (...)
Les plus fragiles, eux, sombraient très souvent dans la folie et s'excluant eux-même de la norme sociale : prophètes exaltés, fous du village marmonnant tout seuls et absents mutiques au regard vide claquemurés chez eux, son les visages les plus fréquents de ceux qui n'ont pas su faire face à leurs dons. Enfin, les plus rebelles sortaient de leur plein gré descommunautéspour tourner cette inquiétante aura à leur avantage : rebouteux au regard torve et pythie inaccessibles comptent parmi ceux qui assumèrent ce pouvoir et lui donnèrent un rôle social, abusant parfois de la crainte qu'il suscite pour mystifier leur entourage. (...)Flash médiumniques : Histoire : Il est impossible de retracer un historique des flashs médiumniques tout simplement parce qu'il ne s'agit pas d'une « science » à part entière, mais véritablement d'un « don » qu'il est impossible de maîtriser correctement. Avant l'intérêt des spirites pour ce genre de phénomènes, on présuppose que la majorité des détenteurs de cette capacité furent considérés comme des fous ou pire, des oiseaux de mauvais augures, que l'on s'empressait de chasser des ...