La plaquette de présentation de Bloodlust Édition Métal
sur Le Ludiste au format (6.9 Mo)
Contient : sang (8)(...) Les paroles du Dieu résonnaient dans leurs têtes, effaçant le souvenir des épreuves communes, les étreintes passionnées et la douceur de la camaraderie. La tension montait. La blancheur immaculée de la neige était déjà prête à se tacher desang. Un seul d'entre eux deviendrait porteur d'Arme. C'est quoi un jeu de rôle ? Si vous lisez Bloodlust, il y a 99 % de chance que vous sachiez déja parfaitement ce qu'est un jeu de rôle. (...)
Tanaephis est un monde au style « antique », assez jeune pour que rien ne soit gravé dans le marbre, assez vieux pour que pas mal de sales rancoeurs soient bien enracinées. Les peuples du continent ont une histoire déjà riche et entachée desang. Il ne se passe pas un jour sans bataille, escarmouche, complot ou assassinat politique. Mais ce qui marque tout le monde dans Bloodlust, ce sont les Armes-Dieux. (...)
Mais il n'y avait décidément pas de place pour tout le monde sur Tanaephis. Ceux qui ne se sont pas éteints d'eux-mêmes ont été exterminés. Ils ne survivent que dans lesangde quelques bâtards nommés hysnatons. Ces pauvres gosses naissent avec des traits elfiques, nains ou trolls, alors que les vieilles races sont mortes depuis des siècles. (...)
Cela vous permettra de découvrir Tanaephis sous un autre angle et de plonger plus profondément dans les secrets et les arcanes de cet univers. Car sous lesang, la crasse et les cendres des cités brûlées, il y a une palanquée de mystères à découvrir et de sales secrets à déterrer. (...)
Apparemment souriants et amicaux, ils cachent une rancune immense et ne laissent plus passer aucune insulte sans verser lesang. Bien loin de là, dans l'ouest, les Batranobans s'enorgueillissent d'une société stable et prospère. (...)
Parfois, la bâtardise vient de plus loin encore, comme c'est le cas pour les Hysnatons. Expression visible d'un reste desangchimérique dans les lignées humaines, ils portent la marque des elfes, des nains, des trolls ou des formoirés. (...)
Ces femmes ont fui le joug des patriarcats civilisés et vivent en tribus, de rapines et de meurtres, rasant parfois un village entier pour satisfaire leur soif desangmâle. Elles ne sont plus aujourd'hui considérées comme des Alwegs mais comme un peuple à part entière. (...)
[ Jusqu'à -700] Les humains se lancent dans une vaste guerre d'extermination des chimères. On appelle cette période les Guerres dusang. Seuls les nains sont épargnés, car ils se réfugient sous la terre et détruisent les accès à leurs cités. (...)L'expédition du seigneur Armod des Aiglances avait tourné à la catastrophe. Ce jeune chien fou de la noblesse dérigione s'était mis en tête de retrouver les ruines du vieux fortin familial, bâti sur les pentes abruptes de la chaîne des Egides. L'histoire des Aiglances prétendait que le bâtiment, érigé huit siècles plus tôt, renfermait encore des trésors de l'âge d'or impérial. Criblée de dettes, la famille en était à se raccrocher à ce genre d'histoires pour sauver ses finances. Ce ...