Monstres d'Utilité Publique
sur Les Arpenteurs de Mondes au format
Contient : terrestres (6), extra (11)(...) LE CONSORTIUM : Le « Consortium », organisation occulte ayant des accointances dans de nombreux secteurs de la politique, de l'industrie et de l'armée, débuta comme un sous-ensemble d'une agence de l'Intelligence, réunissant certains hommes hauts placés dans diverses agences nationales américaines. Ces hommes furent informés de la présence d'E.B.E. (Entités BiologiquesExtra-terrestres) sur Terre, notamment suite au « crash de Roswell » qui se produisit dans le désert du Nouveau Mexique en 1947. Cette présenceExtra-terrestre, apprirent-ils, existait de longue date, et ils eurent également vent du « Projet » des E.B. (...)
Les ramifications du groupe dépassèrent lentement le cadre des frontières nationales, et ses membres étaient soudés par un seul objectif : collaborer au plan d'invasionExtra-Terrestre, afin d'éviter que toute l'humanité ne disparaisse, tout du moins dans l'espoir qu'eux-mêmes et leurs familles puissent survivre à la colonisation... Pour ces hommes, une absence de défaite était considéré comme une victoire... En 1990, la situation fut telle que le « Consortium » cessa de s'engager auprès d'un quelconque gouvernement, et devint une entité autonome, dans laquelle un homme possédait le plus d'influence : Conrad S. (...)
LE PROJET : Les membres du « Consortium » décidèrent de participer au « Projet » de colonisation de la planète par lesextra-terrestresdès qu'ils en prirent connaissance. Finalement, leur motivation profonde restait assez simple, puisqu'il s'agissait pour eux d'assurer leur survie et celle de leur famille. En échange de leur collaboration, les aliens les auraient épargnés lors des débuts de la colonisation, en leur offrant une immunité ou un asile. Ils auraient également reçu un « Projet » plus important à réaliser. Lesextra-terrestrescolonisateurs ont mis en place, en s'assurant la collaboration du « Consortium », un calendrier assez précis reposant sur plusieurs facteurs. Foetus d'alien. Les aliens livrèrent au « Syndicat » un foetusextra-terrestre congelé, afin que les scientifiques du groupe, tels que Viktor Klemper ou le docteur Berube, puissent élaborer un hybride humain etextra-terrestre (grâce en grande partie aux connaissances des savants nazis dans les domaines de l'hybridation). Ces hybrides, créés à partir d'humains sélectionnés via l'opération « purity-control », devaient devenir les esclaves des colonisateurs, alors que tout le reste de l'espèce humaine devait disparaître. En effet, ces créatures mi-hommes mi-extra-terrestresdevaient supporter la libération massive d'un virus « armaggedon », destructeur pour l'ensemble de l'espèce humaine, et provoquant son extinction. De leur côté, les aliens étaient capables de créer des hybrides clonés, mais étaient incapables de transformer un être humain en hybride, expliquant leur besoin d'un groupe d'humains collaborant avec eux. (...)
Encore une fois, cette mission échoit au « Syndicat », qui a pour charge d'adapter les différentes armes biologiques envisagées aux biomesterrestres. C'est la raison qui explique que le « Consortium » récupéra à son propre compte nombre de scientifiques nazi et japonais extractés pendant l'opération « Paper clip ». (...)
Justement, 2 jours plus tôt, il aura entr'aperçu une annonce dans un journal local prétendant « offrir la première vidéo montrant une véritable autopsie d'extra-terrestre... » L'annonce proclame que cette K7 a été réalisée suite à l'interception d'un signal satellite envoyé depuis le sol vers 2 heures du matin, et cela 3 jours plus tôt. (...)
Au sujet de la K7 et de l'autopsie, il apparaît que RUPPERT en a brièvement parlé en expliquant qu'il s'agissait de quelque chose d'énorme, de la 1ere vraie autopsie d'alien... Pourtant, ces femmes ne semblent pas en être émues, comme si elle admettaient cela comme allant de soi... En poussant plus loin la conversation, les Ps apprennent que toutes ces femmes réunies dans la cellule d'ALLENTON se prétendent victimes d'enlèvementsextra-terrestres! elles prétendent toutes avoir perdu la mémoire suite à ces enlèvements, mais déclarent toutes porter la « marque » : une petite cicatrice à base du cou. Puis, toutes en même temps, elles exhibent ce qui a été retiré de leur cou (expliquant la cicatrice) : un petit objet métallique minuscule, qui ne peut être observé qu'au microscope. (...)
Ils apprendront à ce moment que la zone ou ils ont relevé ces activités est une ZES = Zone Economique Spéciale, qui a un caractère d'extra-territorialité, comme pour une ambassade, ce qui interdit à la justice américaine d'y avoir accès... De surcroît, cette zone a été acquise par le Japon... LES MONSTRES : Les 4 noms que les PJs auront pu récupérer via leur contact haut placé (par exemple le SENATEUR RICHARD MATHESON) leur permet de mener une recherche rapide : ces 4 noms correspondent à ceux de savants japonais qui travaillaient dans le camp « 731 » pendant la seconde guerre mondiale, tristement célèbre pour les ignobles expériences d'hybridation hommes-animaux qui y ont été menées. (...)Le scénario « Monstres d'Utilité Publique » peut être joué par une équipe de 3 à 5 PJs. Peu importe le niveau ou l'origine professionnelle des PJs, mais il serait commode qu'au moins l'un d'entre eux appartienne à la Police ou à une Agence Gouvernementale. LE BACKGROUND : LE CAMP 731 : Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l'armée Japonaise utilisa, comme toutes les nations industrielles impliquées dans ce conflit, des centaines de scientifiques qui furent mis au travail sur des domaines allant ...