Sluagh-ghairm
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Sluagh-ghairm : « cri de guerre » en gaélique ancien, étymologie du mot slogan. Par Pierre Lejoyeux Un vieux fou, une affiche comme bien d'autres, un quai désert : des éléments bien banals, le début d'une course contre la montre. Rien n'est vrai... mais tout est possible ! L'action de ce scénario, prévu pour 4 à 5 personnages novices, se déroule entièrement à Paris à notre époque. Il n'a pas été écrit pour un système particulier mais peut être utilisé avec plusieurs. Paris, un vendredi ...Contient : électricité (3)(...) Des colonnes de marbre portent des lampes à huile qui constituent l'unique éclairage du pavillon, celuici ne disposant pas de l'électricité(en voir la raison dans « La secte du Grand Retour »). Il y a aussi des statues de créatures horribles et d'êtres innommables et de nombreuses vasques d'eau de mer. (...)
Malgré son allure tranquille et le fait qu'il ne porte pas d'arme, c'est l'adversaire le plus dangereux, même si on met de côte ses pouvoirs magiques. Sa force est colossale et il est virtuellement invincible. Seule l'électricitépeu le blesser. Entrefilet n° 1 : Meurtre au Quartier latin : Une libraire est retrouvée morte, poignardée, dans sa boutique. (...)
Bien que métamorphosé, il garde une force prodigieuse due aux fortes pressions régnant dans les plaines abyssales océaniques, la possibilité de respirer sous l'eau et un amour immodéré pour le sushi. Note générale. Tous les sectateurs, le grand prêtre y compris, sont excessivement sensibles à l'électricité. Les sicaires et les initiés s'écroulent au moindre choc électrique de bonne puissance (une simple pile de 1,5 volt ne suffit pas ! (...)