Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : pèlerins (2)(...) D'autres sociétés se créèrent dans les années qui suivirent, sous l'inspiration de membres de ce collège, mais dont les motivations et les occupations s'en éloignaient quelque peu, certaines ne sont toujours que des sectes moribondes, d'autres sont devenues des institutions reconnues : ainsi de l'Ordre des Clairs Chevaliers de l'Astre, qui furent parmi les premiers à pratiquer l'escrime proprement dite et contribuèrent au développement des armes d'estoc (rapière, fleuret, etc.) ; de la Confrérie desPèlerinsde Nulle-Part, une petite poignée d'utopistes pacifistes sillonnant l'Harmonde pour prêcher l'abolition des Royaumes et des frontières ; de la secte étrange des Fiers Servants de Nature, qui prône la suprématie de l'inné et rejette tout apprentissage actif, secte ennemie de celle des Adeptes de la Théorie Absolue et Universelle, qui rejettent l'idée de famille et de sentiments au profit de l'unique relation maître élève ; de la Société des Amoureux de Science dont les membres collectionnent les ouvrages scientifiques mais uniquement ceux dont ils ne comprennent rien ; et tant d'autres encore. (...)
Toutefois, les Liturges ont choisi de situer officiellement le tombeau de la Sainte au coeur de la ville de Neuvêne, bien plus accessible auxpèlerins, lesquels contribuent à l'épanouissement économique et au rayonnement religieux de la capitale. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...