L'hiver du cœur
sur Vermine au format (71 Ko)
Cette aventure deux volets s'adresse à un groupe de personnages débutants et non adaptés. Stress, peur et douleur dans un premier temps, les personnages vont être confrontés à une série d'évènements dont la gravité ira crescendo, avant de savourer un moment de repos vite brisé par une effroyable découverte. Au terme d'un second volet plutôt orienté vers la récupération d'informations et les interactions entre les personnages, le final confrontera le groupe à l'inimaginable. Plus que jamais, le rôle ...Contient : scène (5)(...) Puis, un à un, l'homme prendra les membres du groupe sur son épaule et les installera dans une remorque chargée de couvertures. Le personnage éveillé entendra lascèneplus qu'il ne la verra, avant de perdre de nouveau connaissance, bercé par la chaleur des couvertures et les cahots de la route. (...)
Transportés par le Chasseur à bord de sa remorque tirée par deux vaches, aux côtés du gibier fraîchement tué, les personnages découvriront qu'ils n'étaient qu'à quelques centaines de mètres du Havre Blanc, mais dans l'obscurité, aveuglés par des bourrasques enneigées, ils n'auront pu distinguer les contours du village proche... Trop de réalisme ? Si vous estimez que cettescènerisque de frustrer vos joueurs, réticents à sombrer dans l'inconscience et à n'avoir aucune prise sur les événements, il est tout à fait envisageable que le Chasseur les trouve légèrement plus tôt, alors qu'ils sont encore actifs et en train de marcher dans la neige, épuisés et malades pour certains. (...)
Bien que l'approche décrite offre davantage de réalisme et d'intensité, il n'est pas indispensable de tous les faire sombrer si vous pensez que les joueurs n'apprécieront que moyennement lascène. L'essentiel est qu'ils ressentent les effets et les dangers implacables de la montagne, et que leurs personnages arrivent au Havre Blanc techniquement épuisés, avec des Réserves affaiblies et des Malus de maladie. (...)
Sans prévenir, François partira en courant dans cette direction, l'arme au poing. Que les personnages le suivent de près ou de loin, ils découvriront comme lui unescèneahurissante : dans un recoin agrandi de la galerie, à une cinquantaine de mètres, des hommes et des femmes copulent avec des blattes de taille monstrueuse, dans une orgie surréaliste. (...)
La progression des blattes gagnera à être gérée en souplesse, sans forcément tenir compte de la technique, de façon à mettre enscèneun combat, une situation tendue ou un bref instant de répit, en fonction des actions du groupe à bord. (...)