L'Épée De Sang - 5ème Partie : L'Epée du Maître
sur Terres Mythiques
PITIÉ, SORTEZ MOI DE CET ENFER ! Dans toute l'arène des jeux barbares des pirates vient s'installer un court moment silencieux de stupéfaction devant l'exploit impensable que viennent de réaliser les jeunes Ronin : sortir vivants des épreuves. Mongul, le chef redouté de cette terrible bande de pillards brise le silence de sa lourde voix: '- Incroyable, j'en suis moi-même étonné, ces misérables chiens ont survécu à notre octogone. C'est bien la première fois que cela arrive.' '- ...Contient : maître (4)L'Épée De Sang - 5ème Partie : L'Epée duMaîtrePITIE, SORTEZ MOI DE CET ENFER ! Dans toute l'arène des jeux barbares des pirates vient s'installer un court moment silencieux de stupéfaction devant l'exploit impensable que viennent de réaliser les jeunes Ronin : sortir vivants des épreuves. (...)
Si les Pj pensent qu'il vaut mieux mourir que devenir les bouffons de Mongul, la vue de l'épée de leur défuntmaître, l'épée de sang, dans les mains d'un tel individu devrait leur faire ravaler leur colère et renforcer leur volonté de vouloir récupérer le fantastique No-dachi. (...)
A son aspect on sent en lui un mal et une cruauté presque aussi anciens que l'humanité, son entrée fracassante interrompt les combats un instant. Il tend son long bras décharné vers Mongul en sifflant: 'l'épée dumaître' A ces mots les siens reprennent le combat avec encore plus de vigueur, abattant les maraudeurs décontenancés. (...)
Pour lui il n'est pas question que ces rats des océans lui dérobent son bien. Pour les Pj c'est une occasion de pouvoir récupérer le sabre de leur défuntmaître. Dans tout ce chaos chacun ne pense qu'a défendre sa peau du mieux qu'il peut. Tandis que les Pj essaient soit d'échapper à ce maelström de folie, soit d'empêcher la pauvre Min-laï de se faire agresser par les sauvages Kojin rendus fous, ils voient le chef magicien de ces derniers se frayer un chemin vers Mongul, a coup de puissants sorts magiques, exterminant les pirates qui lui barrent la route. (...)