Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : communauté (3)(...) Un quartier entier est ainsi sous la coupe et les traditions shiradim, imposée avec fermeté par une famille salone, les Bar Mishmaon. Ebrim Bar Mishmaon est le patriarche de cettecommunauté. Entouré d'une dizaine de sephirim, Ebrim est un homme puissant qui mène sacommunautéet ses affaires dans le respect des traditions. Conseillé par de nombreux sages et savants, et assisté par le maqqabah Chem-Tov Bar Dayane et par sa propre femme Anâva, le patriarche est un homme aimant et aimé ayant tissé de nombreuses relations avec les mages qui gouvernent la cité ainsi qu'avec les mosaïstes de Sagurtha dont il finance une partie des recherches. (...)
Aujourd'hui encore, rares sont ceux qui osent aller s'installer en dehors du quartier qui leur a été octroyé, mais ils sont considérés comme des membres à part entière de lacommunautéyasminabadi. Bien entendu, on ne les croise pas à tous les coins de rue, et deux personnes sur trois se méfient d'eux et des tours qu'ils pourraient leur jouer, mais certains intègrent toutefois la vie politique, militaire ou artistique de l'oasis. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...