Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : communautés (2)(...) La caravane qui arrivera de l'Est aura sûrement fait le voyage depuis Kh'saaba, Kathrat ou Sagrada. Elle se sera arrêtée dans l'une descommunautésexploitant les merveilles du fleuve pour s'enfoncer dans la succession de sebkhas et de dayas, qui après presque quatre harassantes journées de moiteur et d'attaques de moustiques vecteurs des maladies les plus incommodantes, conduit au désert de dunes. (...)
Au sol, les quartiers bordant les palais - ou plutôt les étables et les écuries - de cette école, sont des quartiers populaires où se côtoient de nombreusescommunautésétrangères. On y trouve un haras arakognan, des orfèvres shiradim, des mercenaires agalanthéens, des tanneurs dorkades, et même des cavistes étrusiens, des guides krek kaos et des danseuses de Nir Manel. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...