A vue de nez
sur La Cour d'Obéron au format (261 Ko)
Contient : odeur (4)(...) Pour atteindre ces puits, il faut parcourir un labyrinthe souterrain ; les chefs de la secte ont donc formé des « commandos », les r endant aveugles et en développant leurs sens olfactifs pour qu'ils se laissent guider par uneodeurbien spécifique. Un incendie aux drôles de victimes va glisser un petit grain de sable va se glisser dans cet engrenage. (...)
C'est en effet ici qu'aboutissent les enfants qui disparaissent de la ville et des alentours, et qu'ils sont entraînés pour leur mission finale : les séides du temple leur crèvent l es yeux, puis les entraînent à se repérer dans ce réseau troglodyte en développant uniquement leur odorat, et surtout à détecter uneodeurspéciale. Cetteodeurest celle de la pierre avec laquelle ont été construits de grands réservoirs qui sont situés sous le château de la ville, et qui contribuent à alimenter la ville en eau potable. Or, les séides du temple ont appris que ces réservoirs sont protégés par un dédale de couloirs creusés dans le roc et donc la plupart ne sont que des fausses pistes piégées contre l es intrus. (...)
Les sectateurs de cette nouv elle croyance, qui veulent empoisonner les réservoirs, ont pensé qu'il suffirait d'apprendre à des enfants à suivre la piste de l'odeurde la pierre des réservoirs pour suivre l e « bon » parcour s dans ce danger eux dédale. Les PJ pourront-ils arrêter mettre à bas le plan des empoisonneur s avant que les enfants ne réussissent à s'infiltrer jusqu'aux réservoirs avec leurs sacs de poison ? (...)Cette aventure est écrite pour être jouée dans un univers qui pourrait être celui de Warhammer. Mais elle peut être adaptable à bien des univers. Et l'écriture de sa trame n'est pas étrangère à ma récente lecture du roman Black Lotus, de Laura Joh Rowland, aux éditions Saint Martin's Paperbacks (2002). L'histoire en quelques mots : Sous le couvert d'un temple à la doctrine séduisante, une secte vise à renverser le pouvoir en place, en empoisonnant les puits alimentant la ville. Pour ...