Perfide Albion
sur James Bond 007 le Jeu de Rôle au format (75 Ko)
Note : les musiques sont données à titre indicatif. TEASER : Lieu : Le Havre. Arrivée : Dimanche 20 juillet 13h00. Musique : Exercice At Gilbraltar (BO The Living Day Light). Quelqu'un s'est procuré des détonateurs de fabrication britannique. Cette personne ne s'intéresse qu'au matériel exclusivement britannique et identifiable comme tel. Le MI6 veut savoir qui les a acheté et pourquoi. Rapidement il est parvenu à découvrir la source d'approvisionnement et à la neutraliser. Les PJ ...Contient : mère (11)(...) Son père, Armand Taluvier est mort sous les canons anglais au port de Mers El Kebir le 23 octobre 1940. Samère, Eugénie Chenay était alors enceinte de 4 mois, sans être mariée. A l'époque c'était un déshonneur, d'autant plus qu'elle était la fille unique d'une famille de grands propriétaires terriens de la Beauce. (...)
A l'âge de 10 ans, Gustave Dufresney le fit chercher en catastrophe à sa pension. En rentrant à la propriété, il découvrit que samères'était suicidée. Une lettre lui était destinée, samèrey expliquait qu'elle ne pouvait plus vivre ainsi, que son père lui manquait trop et qu'elle le rejoignait. Il supposa que le dédain et les reproches habituels de son père adoptif envers samèreen étaient responsable. Gustave tenta d'être plus attentionné avec André, mais en vain. André se réfugia dans la solitude et les études. Le suicide de samèrel'avait renforcé dans sa haine de la Grande Bretagne qui l'avait privé indirectement de la seule personne importante à ses yeux. (...)
La dernière est l'attaque du port du Mers El Kebir le 23 octobre 1940. Ce jour là, Armand Taluvier, mon véritable Père est mort sous les obus britanniques. Mamère, Eugénie Chenay, était enceinte de 4 mois, sans être mariée. - Hubert Dufresney, un riche propriétaire terrien de la région a profité de la situation. Il savait que mamèreétait fille unique. Il proposa à mes grands-parents de marier son fils, Gustave avec elle. Bien entendu, il endosserait la paternité du bébé. L'affaire fut conclue, sans l'avis de mamèreet Dufresney mit la main « légalement » sur les terres de mamère. - Gustave n'a jamais montré le moindre égard pour moi, ni pour mamère. Elle lui donna, mes deux « frères » Emile et Paul. Mais jamais elle ne put oublier mon père. Elle m'en parlait chaque fois que je revenais du pensonniat où on m'avait consigné durant l'année scolaire. (...)
- Mais, l'année de mes 10 ans, on me fit chercher en catastrophe au pensionnat. En rentrant à la propriété, j'appris que mamères'était suicidée. Elle avait écrit une lettre pour moi. Elle m'y expliquait qu'elle ne pouvait plus vivre ainsi, que mon père lui manquait trop et qu'elle le rejoignait. (...)