Barsoom, la lune du Monde à Étages
« Il ouvrit les yeux sur un paysage inconnu et très étrange. Il se trouvait dans une vallée large et peu profonde. Le sol sur lequel il était assis et les collines qui l'entouraient étaient recouverts d'une sorte de mousse jaune. Le ciel n'était pas vert comme celui du monde qu'il venait de quitter. Il était d'un bleu si sombre qu'il en paraissait presque noir. Il aurait pu croire que c'était le crépuscule si le soleil ne s'était pas trouvé au zénith. À sa gauche, une forme gigantesque ayant ...Contient : humains (3)(...) L'expérience fut un échec. D'une part, les tisha ne pouvaient pas faire de dangereux adversaires contre leshumainsde Tayaphayawoed dans l'immédiat, parce qu'ils étaient un peu trop lents. D'autre part, ils détruisaient les prairies en les retournant, et cela ne convenait pas au sens esthétique de Jadawin. (...)
Ces machines contrôlent le climat et diffusent dans les nappes phréatiques des souterrains les drogues d'immortalité, qui assurent mille ans d'espérance de vie auxhumains. Jadawin avait placé ces machines ici pour le principe, en attendant de trouver un peuple digne de coloniser la lune. (...)
* Matrice de l'Arbre de Vie : Dans la mythologie barsoomienne inventée par Edgar Rice Burroughs, l'Arbre de Vie est l'origine mythique des espèces de Barsoom, qu'il s'agisse des singes blancs ou des diverses variétés d'humains. Bien entendu, Jadawin s'est refusé à doter son Arbre de Vie de la capacité d'engendrer des créatures intelligentes. (...)