Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : palais (39)(...) Bien entendu, les adeptes de Khaine sont pourchassés activement par les autorités arabes mais sans grand résultat car ces adeptes se cachent aussi bien dans les bas quartiers des cités que dans lespalaisluxueux des califes. Si le culte de Khaine est si répandu, c'est parce qu'il répond à une demande sociale bien précise de la part des grandes familles arabes. (...)
Les hommes lettrés peuvent être employés à des tâches administratives dans les domaines agricoles ou lespalaisde gouverneurs, certains deviennent précepteurs. Les hommes doués pour le travail manuel sont achetés par les artisans. (...)
Cette ville aux murailles hautes et blanches est dominée par un immense temple dédié à Ormazd : Cette construction longue de 200 mètres, large de 100m et haute de 15m est située sur une colline au centre de la ville, sur laquelle se trouve également un immense Ribat. Au pied de cette colline se trouve le GrandPalaisdu Sultan, entouré d'un parc irrigué 24h/24. La propriété est gardée par des guerriers Kamaluk. (...)
Toujours dans le même quartier se trouve l'immense salle où sont enregistrés tous les paris liés aux courses ou aux combats. Ce bâtiment est presque aussi bien gardé que lepalaisdu sultan. Le quartier des jeux jouxte celui des écoles : on y trouve 5 écoles et pas moins de trois cours préparatoires (dont un réservé à la noblesse). (...)
Il faut enjamber un bras du fleuve pour se rendre dans les quartiers religieux et administratifs. Lepalaisdu gouverneur Ibn Al Khatib, qui dirige la ville et la dizaine de villages agricoles installés dans le delta, est le principal bâtiment du quartier administratif. (...)
La garnison (de 500 hommes) est basée dans une citadelle gigantesque, vieille de plus de 1000 ans, à côté des jardins dupalaisde l'Emir. le responsable de la garnison est le commandant Salim. Djebellna : C'est un fortin au milieu de désert. (...)
Tous ces villages vendent leurs surplus de production sur les marchés de la capitale de l'Emirat : Meknès. Cette grande ville abrite lepalaisde l'Emir de kamt : Ibn Habdula. L'Emir a sous ses ordres environ 500 soldats et une vingtaine de galères de guerre, basées dans le port de Mèknès. (...)
Plus de 1 000 bagnards y travaillent dans des conditions épouvantables. Les pierres taillées dans ses carrières ont servi à fabriquer de très nombreuses fortifications etpalaisdans le nord de l'Arabie. Les principales villes de l'Emirat de Kamt : Meknès : C'est seulement le quatrième plus grand port de l'Arabie mais il n'aurait rien à envier aux principaux ports bretonniens ou estaliens. (...)
Les rues sont plus grandes que dans les autres cités importantes et les bâtiments de pierre y sont plus nombreux.. Lepalaisde l'Emir Abdula est un forteresse située sur un promontoire rocheux se jetant dans la mer. Lepalaisest entouré d'un splendide jardin accueillant des essences de toute l'Arabie et du Vieux monde. Il est à signaler qu'une vingtaine de guerriers kamaluk protège la résidence et la famille de l'Emir. (...)
Les bâtiments de la cité se démarquent par la qualité de leur architecture et par leur ancienneté (certains édifices comme le grand temple ou lepalaisdu Calife sont vieux de près de 1500 ans !). Le quartier le moins huppé, fait de constructions de briques, jouxte le port. (...)
Le fort de Hassan domine le port (c'est une immense citadelle de pierre rouge abritant une partie de l'armée du calife, les hangars des galériens et la prison de la ville). Lepalaisde Saadi, situé au coeur de la ville, est une résidence imposante, sur quatre étages et entourée d'un parc aussi immense que magnifique. (...)
Les trafiquants viennent de toute l'Arabie y faire leur commerce. On trouve de tout parmi la clientèle : Intendants depalaisou de riches propriétés, propriétaires de harems (ou de bordels), responsables de chantiers divers, organisateurs de combats, exploitants agricoles, capitaines de galères. (...)
C'est un homme très influent, nommé directement par l'Emir de Al-Haïkk. L'une des attractions de la ville est son Harem : C'est un vastepalaissitué dans le quartier huppé, hébergeant plus d'une centaines de prostituées de luxe. L'Emir est directement propriétaire des lieux mais il en a confié l'intendance à Sinan Ibrahim, un ancien pirate ayant fait fortune dans le trafic de jeunes femmes blanches. (...)
On raconte également que le chef de la très mystérieuse caste des Maculés (organisation d'assassins), résiderait dans un despalaisde la ville. Les arènes sont situées à l'extérieur des remparts, afin de permettre aux spectateurs étrangers d'assister aux spectacles sans avoir à payer la lourde taxe d'entrée perçue aux trois portes de la ville. (...)
De par ses activités, la ville et ses 30 000 habitants sont protégés par une garnison municipale forte de 400 soldats n'ayant rien à envier à une armée régulière. Le commandant de cette garnison est le Ka'id Abdullah. Baskra abrite également lepalaisde l'Emir : C'est une propriété splendide, perdue au milieu de jardins botaniques étonnants. Lepalaisest de forme circulaire et son toit est une terrasse arborée comme il en existe peu à travers le monde. A l'intérieur, chaque pièce contient plus d'oeuvres d'art que ne pourrait en convoiter le plus avide des collectionneurs Le Califat de Mahabbah : Présentation générale : Le califat de Mahabbah est un territoire situé sur la cote nord de l'Arabie. (...)
Ensuite, la ville intérieure de El Mansurah s'est spécialisée dans l'exploitation de carrières de marbre, situées à proximité de la ville (les pierres de nombreuxpalaisdu nord de l'Arabie viennent de ces carrières). Par extension de l'élevage, le travail du cuir est devenu une spécialité du califat. (...)
Le dirigeant de la cité est le gouverneur Hadji Ibn Maskan, nommé par le calife dont la résidence est unpalaisplutôt modeste, mais gardé comme une forteresse. El Mansurah : En plein désert, à plus de 130 km au sud de Mahabbah, la ville d'El Mansurah a été implantée sur l'oasis du même nom, à proximité d'une immense carrière de marbre, exploité depuis plus d'un siècle et demi. (...)
La population du Califat est regroupée au Nord, autour de quelques agglomérations, au coeur de cette vaste plaine agricole appelée « le Désert Vert ». Le Directoire se réunit dans un immensepalais, à Ghafsa. Il est composé de 4 membres et d'un Consul qui est élu tous les 5 ans par une assemblée de grands électeurs (quelques milliers de propriétaires, assez riches pour payer le cens annuel, indispensable pour voter). (...)
Chaque semaine, plusieurs milliers de pèlerins et de fidèles s'y pressent pour entendre les sermons et les prières de l'Imam Umar Wasudan (un clerc très influent, proche du mouvement radical d'Ormazd). Ce grand temple maintes fois rénové, date de plus de 2 000 ans. Lepalaisconsulaire abrite les appartements du Consul et de sa famille. Les réunions du Directoire s'y déroulent quatre fois par semaine. Lepalaisest un édifice haut de quatre étages, aux façades richement décorées et aux sols pavés de marbre. Lepalaisdes Grands Electeurs est situé en face dupalaisconsulaire : C'est un immense amphithéâtre entièrement construit en marbre et doté de près de 2 000 places assises. L'hôtel municipal jouxte cepalais. Le maire de la ville y travaille. Il est choisi par le Directoire et nomme les principaux responsables du maintien de l'ordre dans la cité. (...)
Près de 10 000 personnes vivent derrière les remparts de la ville, dans de petites maisons sans étage. Au centre de la ville se dressent trois grands bâtiments : lepalaisdu gouverneur Sinan Al Din, la garnison municipale (hébergeant une centaine de miliciens commandés par le Ka'id Nasser Nikudaris) et un grand temple dédié à Ormazd. (...)
Les principaux bâtiments de la ville sont le grand temple d'Ormazd, dirigé par l'Imam Khalal (un clerc particulièrement intégriste), lepalaisde l'Imam (une grande bâtisse en U entourée de jardins) et la forteresse de la ville. Située à l'extrémité du piton rocheux, ce bâtiment a plusieurs fonctions : Du fait de sa hauteur, le donjon fait office de phare pour les navires, les sous-sols de la forteresse abritent l'unique prison de l'Emirat et les hangars destinés à héberger les galériens de la flotte. (...)
Au delà de ce rideau, une gigantesque muraille de près de 10 mètres sépare le centre de la ville du reste de l'agglomération. A l'intérieur de ce dernier bastion se trouvent le quartier général de l'armée, lepalaisde l'Emir, le grand temple d'Ormazd et les greniers de l'Emirat (lepalaislui-même est une forteresse particulièrement bien défendue) . La famille régnante est protégée par une garde rapprochée formée de mercenaires étrangers dont l'efficacité suffit à expliquer le salaire énorme qui leur est alloué. (...)
La ville est très ancienne car elle fut un comptoir de l'empire de Durbaïta (la civilisation du Fleuve Rouge) il y a plus de 3000 ans. Aujourd'hui, il ne reste de cette époque que quelques tumulus et ruines depalais. De nombreux tombeaux ont été mis à jours et ont permis de trouver des bijoux et du mobilier de luxe. (...)
Malgré tout, le quartier commerçant est relativement prospère, les denrées alimentaires venues de tout le territoire y sont échangées contre des produits d'importation (sel, bibelots, armes...). lepalaisde l'Emir est un fortin de briques situé sur les rives du fleuve, près du port. Son ministre de la guerre, Pierre de La Mornais, est un mercenaire d'origine bretonienne. (...)
Malgré la richesse du territoire, la vie n'est pas toujours facile en ces lieux, surtout à cause de la rudesse du climat (en hiver surtout) et du danger que peut représenter la faune des montagnes (Lion et ours des cavernes surtout) Les principales villes du Califat de Nejaz : Nejaz : Capitale du califat, la ville de Nejaz est la moins élevée de toutes les agglomérations de la région, elle est située au pied de la montagne, dans une ancienne vallée glacière, aujourd'hui sèche. 12 000 hommes et femmes vivent derrière les murs de la ville, le calife Ali y réside dans unpalaisd'apparence modeste, mais qui s'enfonce dans le flan de la montagne (plusieurs pièces ont été creusées dans la roche et un passage souterrain mène à l'extérieur de la ville). La particularité des principaux édifices de la ville est d'être construits en marbre noir. Lepalaiscalifal abrite une immense bibliothèque, trésor qui fait la joie du calife (ce dernier envoie régulièrement des émissaires à travers le monde pour se procurer des livres rares). (...)
Contrairement à nombreuses villes arabes, Tambukta n'est pas enserrée derrière des remparts, elle s'étale au contraire sur plusieurs km² et il n'est pas rare de voir en centre ville des maisons entourées de jardins. Deux bâtiments émergent de cette agglomération : Lepalaisde l'Emir (une forteresse très ancienne) et le grand temple d'Ormazd. Une petite arène de 1000 place jouxte la forteresse. (...)
Tout autour de la ville ont été dressées des barricades de pierres et de torchis pour contrôler les mouvements d'exodes. Lepalaisde l'émir est une gigantesque maison, sans étage, située au centre d'un parc arboré, lui même entouré d'une enceinte fortifiée. (...)
C'est pourquoi la région est presque vide, seul le littoral de l'émirat est habité : On y trouve d'ailleurs les deux seules villes de la région : la capitale Marib (8 000 habitants) et Qunfuda (5 000 habitants). Le prince de ce territoire est l'émir Massati, qui vit dan sonpalaisde Marib. Cette ville est avant tout un port de pêche important, les eaux du golfe étant très poissonneuses, cette ressource est la principale richesse de l'émirat. (...)
Cet empire qui a fait chuter la civilisation antique de Fahal Sum a connu des siècles d'apogée dont les seuls témoignages sont les monuments architecturaux encore visibles en 2510 (notamment les monuments funéraires en forme de pyramide à degré). Tous ces monuments (palais, tombes,, statues, forteresses, temples...) restent bien mystérieux aux yeux des érudits car l'écriture de Durbaïta, à la différence de celle de Fahal Sum, n'a jamais pu être déchiffrée. (...)
Les ruelles sont étroites et boueuses, seul le quartier riche présente un visage plus ordonné : les rues sont pavées et les bâtiments n'y sont plus de bois mais de pierre. On y trouve lepalaisdu Calife Banu Abd Al Wâd, la citadelle où l'intendant Mehmed Aydin dirige la ville au nom du calife. (...)
Cette cité de 6 000 habitants est entièrement sur pilotis, sur la bras sud du Fleuve Rouge (à près de 100 km de son estuaire) Cette ville entièrement en bois abrite le modestepalaisdu Calife Ma'ad Al Din, qui dirige la ville et l ‘ensemble du Califat. La vingtaine de navires de guerres qu'il possède sert à défendre la ville. (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...