Vivre en Exil
sur Ballon-Taxi au format (1.6 Mo)
La société exiléenne : Façonné par l'histoire si particulière de sa cité, l'esprit exiléen peut sembler déroutant à un étranger mal préparé. L'exiléen doit combattre quotidiennement la peur originelle de l'obscurité, qu'il commue en farouche croyance envers Administration et l'Ingénierie qui régulent sa vie et ne laissent pas de place, selon lui, au hasard. Aspirant à la liberté, il a toutefois du mal à étouffer en lui le souvenir que sa cité est basé sur la rébellion, celle de ses ancêtres ...Contient : écoles (2)(...) Certains patrons sont gagnés par la mode « paternaliste », qui consiste à améliorer le quotidien de ses ouvriers en espérant ainsi y gagner leur reconnaissance. Ces patrons « éclairés » construisent dispensaires etécolesdans les blocs d'habitation, aident leurs ouvriers non-citoyens à régulariser leur situation, soutiennent les programmes de réhabilitation des Ingénieurs civils et financent même parfois la création de nouveaux logements. (...)
Pour certaines, elles ont servi de fondations aux actuels bourgs stanciens, entraînant ainsi un fort intérêt des Scientistes exiléens... Les Baronnies Scentennes : L'observateur exiléen a souvent tendance à assimiler les baronnies scentennes avec son voisin direct du sud, le protectorat de Scovié, tant il est vrai que celui-ci semble influencer la vie et la culture des baronnies. Sous influence, les baronnies le sont sans doute. Leurs élites ont souvent été formées dans lesécolesd'administration du Protectorat et certains barons disposent de charges honorifiques dispensées par Scovié, renforcés par de nombreux liens maritaux. (...)