Bayonne sous les Cendres
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Contient : trouve (15), trouvé (2)(...) En outre les Gudaris sont ici les maîtres et ils n'hésitent pas à le rappeler en restant très présent et en procédant selon leur souhait à des contrôles d'identités ou des fouilles dans les hôtels ou les commerces. Ils peuvent également fermer le quartier selon leur bonne volonté. En haut de la rue Maubec setrouvela place d'entrée de Bayonne Nord, faisant également office de poste frontière avec les Landes. (...)
A l'emplacement d'une ancienne station service à été monté un poste de garde conséquent pour assurer la sécurité. Ontrouveaussi un peu vers l'est de cette place l'ancien cimetière de Bayonne qui à été relativement épargné par le cataclysme en fonction de sa position élevé et dans les terres. (...)
Les rues, étroites et sombres, que bordent les anciens immeubles du quartiers existent toujours. Mais grand nombre de ces immeubles ont été emportés lors du tsunami. A la place, aujourd'hui, ontrouvedes habitations qui dépassent rarement deux étages et qui sont construites sur les fondations des anciens immeubles. (...)
Toribio Otchoa dût, de ce fait, intervenir militairement dans ce quartier pour y maintenir l'ordre et décida d'installer une caserne dans le quartier afin de tuer dans l'oeuf toute nouvelles idées de rebellions. Au pied de la caserne setrouvela Place Saint-André ou se tiens le marché permanent du quartier. Dans ces rues ou chaque immeuble est un château de carte, certains marchands des environs on préféré s'installer sur un emplacement dégagé. (...)
C'est aussi le marché ou viennent de nombreux maraichers, éleveurs et paysans pour écouler la marchandise qui n'a pastrouvépreneur dans le Grand Bayonne. Vous l'avez compris, si ce marché est conséquent et vivant, les marchandises que l'ontrouveici ne sont pas toujours de première qualité. Pour finir, la présence de la caserne juste à côté rassure les commerçants itinérants qui se sentiraient bien moins en sécurité dans les ruelles du quartier. A l'opposé de la Caserne, setrouvel'église Saint-André de Ravenna qui donne son nom à la place. Cette église à pas mal souffert du cataclysme, mais la foi des gens du quartier les as poussé à la reconstruire tant bien que mal. (...)
' En effet, malgré tout les efforts et la bonne volonté des soeurs, les moyens médicaux sont minimes. Au niveau de l'ancien Pont du Génie setrouveune grande esplanade qui sert de marché aux bestiaux. Ce dernier à lieu une fois par mois. Pour finir la place du Réduit est le dernier lieu important du quartier. (...)
Toutefois, on le surnomme souvent l'épouvantail (certainement lié à l'idée de l'homme de paille) ce qui ne le dérange pas le moins du monde. Leheren pense avoirtrouvéun boulot en or et il feras son possible pour le garder. Le fait que sa femme soit parti avec un marin à cause de sa position de profiteur ne l'a peiné qu'un temps. (...)
Le quartier est lui même divisé en trois grande partie : Nous avons vu qu'il y avait déjà le grand Parc Paulmy, auquel s'ajoute le quartier résidentiel, bordant le parc et descendant jusqu'au Quai du Commandant Roquebert ou au Quai de l'Amiral Jauréguiberry, et enfin le quartier commercial qui débute aux abords du Parc Paulmy à hauteur de l'avenue du 11 novembre jusqu'à l'Avenue du Général Leclerc et ainsi jusqu'au Pont Mayou. Les rues commerciales sont des endroits vivant ainsi que les halles. On ytrouveici de jolie échoppes de vêtements, des antiquaires qui ont pignons sur rue ou encore des commerçant itinérants proposants des articles de grandes valeurs. (...)
L'ancienne Mairie partage aujourd'hui ses locaux avec la capitainerie. Sur les hauteurs du quartier setrouveles immeubles résidentiels, rénovés avec bien plus de soin que ceux du Petit Bayonne. Ici, l'organisation de vie est très semblable à celle d'avant si ce n'est que la population y est bien plus réduite et qu'il arrive qu'un immeuble appartienne à une seule personne. Ontrouveaux pieds des immeubles quelques commerçants, hôtels ou restaurants appartenant exclusivement au gens du quartier. (...)
Malheureusement, l'enclave fut trop difficile à défendre contre les pillards qui incendièrent plusieurs fois les lieux et se cachèrent ensuite dans la forêt de Chiberta non loin de la. Le projet fût donc abandonné. Aujourd'hui ontrouvetoutefois quelques habitants ici, artisans n'ayant pu repartir ou pauvres ne pouvant s'offrir une vie dans un meilleur quartier. (...)
Ce quartier connait les même problèmes que les Cinq Cantons en ce qui concerne le pillage, mais dans une mesure moindre toutefois, grâce à une volonté plus forte des Gudaris de protéger ce lieu, et un nombre plus grand et plus déterminés d'habitants * Marracq ou setrouvele centre hospitalier restauré de Bayonne. Il a été possible de réhabilité environ 70% des anciens locaux, et ceci uniquement parmi les constructions les plus anciennes du complexe hospitalier. (...)
Un peu éloignée de la citée, et peuplée essentiellement de mains d'oeuvres désireuses de se divertir un peu le soir venu, ce ghetto de baraquement est en train de devenir le point noir de Bayonne. On ytrouvede nombreux tripots ou l'on peut jouer sa paie et passer la nuit avec une fille pour pas trop cher. (...)
De nos jours ce genre d'oublie ne peut plus se reproduire, mais voila qui donne une idée assez intéressante de l'état d'abandon dans lequel setrouvela ville pendant les fêtes. Les fêtes ont lieu exclusivement dans le Petit Bayonne. Un petit marché est installé exceptionnellement sur la Place Réduite et chacun à le droit d'y tenir un petit stand pour troquer ce qu'il possède. L'esplanade du Pont du Génie, ou setrouvehabituellement le marché aux bestiaux accueille pour l'occasion une foire attirant de nombreux visiteurs et commerçant itinérants. (...)Un peu d'histoire : Comme nous le savons, au Pays Basque comme ailleurs, les grandes villes côtières furent rasées par le tsunami qui suivi la catastrophe. Bayonne ne fît pas exception à cette règle, et le nombre de mort fût considérable dans la citée, et dans tout le district. Longtemps, la ville resta à l'état de ruines malodorantes, à demi ensevelie dans la vase et à nouveau entourée de marais sombres et dangereux à pratiquer. Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels ...