Au Diable la Bagatelle !
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Lyon et les Années Folles : L'histoire qui suit se déroule à Lyon, au début de l'année 1923. Elle propose aux investigateurs de faire connaissance dans une atmosphère mondaine, détendue et plus qu'agréable, pour les plonger subitement dans l'horreur. Confrontés au meurtre atroce d'un proche dont la disparition les touche tous profondément, ils suivront une fausse piste qui les occupera longtemps et leur fera entr'apercevoir la vérité, pour les ramener en définitive vers le drame principal et ...Contient : corps (29)(...) Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentour. On se cherche dans le noir, on se trouve, alors que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)
Le proxénète, Ivan Gueule d'Amour a tué deux de ses filles et s'est enfui. La police est à ses trousses. Dans les deux cas, on a retrouvé lescorpsnus, la gorge arrachée avec les dents. Le meurtrier leur a dévoré le haut de la trachée et les victimes sont mortes étouffées, noyées dans leur propre sang. (...)
Si leur souteneur est retenu comme principal suspect, c'est parce qu'un témoin oculaire dit avoir vu Ivan déposer lecorpsde la première prostituée au milieu de la rue. Sur le second cadavre, repêché dans la Saône par des agents de la circulation, les marques de dents identifiées au niveau de la gorge semblent provenir de la même mâchoire. (...)
Puis les lumières s'éteignent et la partie de frotti-frotta prend le relais... Alors que leurs affaires sont déjà bien avancées et que les convives sont arrivés à l'apogée de la soirée, un hurlement de terreur crève l'obscurité pour se transformer en cri de douleur puis en gargouillis obscènes ! Lorsque la lumière se rallume, Julien Duval est allongé sur lecorpsde Lizzy. Il lui a déchiré la gorge en la mordant profondément et est en train de dévorer sa trachée artère avec violence [ Jet de SAN 0/1D6 ]. (...)
Les renseignements présentés peuvent être découverts en faisant jouer les contacts des investigateurs,corpsde police pour l'inspecteur Moisseutier, bien que l'appartenance à la Section Mixte n'ouvre pas toutes les portes et qu'il lui faudra probablement de longues argumentations pour obtenir certaines indications auprès de ses confrères, amis d'enfance de Léon Bonnefoix qui appartiennent à la pègre locale, indices obtenus grâce aux activités du Cercle EROS et du couple Branardi, etc. (...)
Ces démons, esprits ou quel que soit le nom qu'on leur donne, ont toujours les mêmes caractéristiques : * Façon de tuer leur victime, en leur dévorant la trachée ou toute autre organe ducorpscentre d'énergie (coeur, foie, rate, ...) pour leur dérober une part d'eux-mêmes. Selon les régions du monde, le voleur s'empare de l'âme de la victime, de son énergie vitale, son karma, etc. (...)
- Pouvoir connu : Aznataroth est invoqué pour faire revenir les morts à la vie, en échange de l'âme d'une ou plusieurs autres personnes. Il rentre pour cela en possession ducorpsd'un proche de la victime sacrificielle et la tue pendant des ébats amoureux [Les rapports sexuels ne sont en fait pas nécessaires au rituel. (...)
- Il lui faut sacrifier au moins deux personnes pour en ressusciter une. En retour, l'être recherché ressort de la tombe et le démon lui offre comme réceptacle lecorpsd'un proche des victimes. - Le rituel implique que le démon dévore la trachée de sa proie, pour lui voler son âme. - Une fois que le démon a assassiné une personne selon le rituel, il ne peut plus quitter lecorpsde son porteur sans que ce dernier ne soit lui-même tué de manière brutale. Le possédé est par contre beaucoup plus résistant qu'un humain normal. (...)
Il n'a donc conservé pour décrire le lien, que les descriptions d'orgies sexuelles organisées par Frater Hieronimus qui préparaient ainsi descorpsliés par le Fluide. La partie concernant les enfants issus de ces agapes, eux aussi utilisés dès leur naissance pour les sacrifices, a été perdue avec la version originale du livre... Un tueur en série à Lyon ? (...)
Le 30 janvier, Madame Presle et sa fille, Renée, alertent la police : Paul et Antoine ont disparu... Lecorpsdu père ne sera retrouvé que quelques jours plus tard, flottant sur la Saône, la gorge arrachée. (...)
Il lui mord assez sérieusement la gorge mais n'a cependant pas la force ni la volonté pour réellement dévorer la trachée, comme l'aurait fait le démon. On retrouve lecorpsmutilé de Paul Presle au petit matin. Un semblant de réaction : Le meurtre d'Emilie Chabert ne laisse pas indifférente la population. (...)
Le sentiment de paranoïa qu'ils avaient déjà connu au lendemain du meurtre de Lizzy revient, augmentant peu à peu chez les investigateurs et les amants encore en vie. Il ne peut que s'accroître après la découverte ducorpsde Paul Presle et la prise de conscience collective que les deux derniers meurtriers étaient eux aussi présents à la fête. (...)
Le but d'Aznataroth n'est pas de parachever sa libération mais bien de se faire tuer, pour s'offrir un final grandiose. Il a déjà prévu de se réincarner dans l'un descorpsrestant, et pas forcément celui dans lequel on l'attend le plus... Une sordide course contre la montre peut alors commencer. (...)
Triste consolation, les investigateurs auront repoussé Aznataroth jusqu'à sa prochaine invocation et Lord Thorpe n'aura pas perdu ses deux filles, même si celle encore en vie n'est plus qu'uncorpssans esprit... Annexes : - Pentacle des sacrifices - Chronologie générale - Chronologie - Cercle EROS - Calendrier - Année 1923 - Die Liliths Muschi - Sorts d'invocation et de contrôle d'Aznataroth Lizzy Emilie Chabert Antoine Presle Renée Presle Honoré de St Oulbins Julien Duval Paul Presle Lucien Caldont Chronologie générale : 13/01 - Philippe Ruecau lance Contacter Aznataroth, Celui qui Ranime les Disparus 15/01 - Arrivée du démon dans lecorpsd'Ivan Gueule d'Amour et contrat avec Philippe R. 17/01 - Meurtre de la première prostituée, Brigitte 18/01 - Meurtre de la seconde prostituée, Victorine 20/01 - Arrivée de Phrygné dans lecorpsd'une autre des filles, la Jeanne - Philippe Ruecau organise une rencontre fortuite de Phrygné avec le Doc, Henri Velpont 25/01 - Soirée chez les Duval 26/01 - Première présentation de la machine à vapeurs éthérées - Ivan Gueule d'Amour se fait poinçonner par la pègre locale - Julien Duval devient le porteur d'Aznataroth et influence les choix de son maître 27/01 - Expérience et présentation de Phrygné au Cercle EROS - Choix d'une nouvelle époque - Partie fine chez les Thorpe (7 dames, 7 messieurs) et meurtre de Lizzy ?? 28/01 - Journée de deuil - Julien Duval est abattu par les forces de police (ou par les investigateurs, la veille) 29/01 - Sentiment de persécution pendant la journée (tous, sauf le Colonel) - Paul Presle devient le nouveau porteur au milieu de la nuit 30/01 - Meurtre et disparition de Antoine Presle (tué par son fils) ? (...)
J + 1 - Philippe Ruecau assassine lui-même le troisième porteur, Paul Presle - Aznataroth est libre et cherche un nouveau porteur parmi les amants J + 2 à J + 4 : - Sentiment de persécution de plus en plus fort chez les amants et Lord Thorpe - Lucien Caldont organise le rassemblement des amants pour les protéger J + 3 - La seconde catin d'EROS apparaît dans lecorpsde Mme Duprès J + 4 : - Lucien Caldont devient le nouveau porteur - Meurtre de Honoré de St Oulbins ? (...)
Ce 5 mars 1917 devait rester gravé à jamais dans sa mémoire - au milieu d'une boucherie sans nom, entouré de morceaux decorpséparpillés un peu partout par l'explosion, Léon manqua être étouffé par les cadavres de ses camarades avant d'être sauvé quelques heures plus tard. (...)
S'il en réchappa, il laissa une partie de lui même dans les décombres de la ferme et développa depuis ce jour une peur critique du sang, sous toutes ses formes. Léon fut renvoyé chez lui avec une jambe raide et des cicatrices qui lui tatouaient l'ensemble ducorps. Il rentra à Lyon dans un état psychologique inquiétant et se remit à jouer pour les poilus en permission. (...)
Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentour. On se cherche dans le noir, on se trouve, alors que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)
Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentours. On se cherche dans le noir, on se trouve, alors que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)
Il est de plus très gentil avec Lord Thorpe, espérant sans doute demander la main de l'une des deux jumelles. Et ce petit jeu de séduction n'est pas sans déplaire au vieil aristocrate. Un vrai gentleman decorpset d'esprit Lord Thorpe aime marquer une différence nette avec les modes actuelles des jeunes gens et s'habille en conséquence. (...)
Après avoir dépensé 10 points de magie afin de donner de la puissance à cet enchantement, l'exorciste doit ensuite mesurer (sur la Table de Résistance) son POU à celui du monstre qui a investi lecorpsdu possédé. Les personnes présentes qui le désirent peuvent éventuellement participer à l'effort du magicien en ajoutant la moitié de leur POU au sien... une condition quasi indispensable pour que l'exorciste ait la moindre chance de succès. (...)
Bien sûr, c'est un fils de la bourgeoisie lyonnaise mais il a quand même eu le courage de quitter la voie familiale de la médecine pour tracer son propre chemin, dans uncorpsarmé qui plus est. Le colonel sait reconnaître cette qualité chez Jean Moisseutier, d'autant plus qu'il se montre toujours très respectueux envers Hector voire même un peu obséquieux. (...)
Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentours. On se cherche dans le noir, on se trouve alors, que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)
Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentours. On se cherche dans le noir, on se trouve, alors que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)
Il est ainsi toujours habillé à la dernière mode pour ne pas dépareiller avec les autres jeunes personnes. Jean porte actuellement des costumes très serrés qui moulent élégamment soncorpsbien fait. Il ne peut par contre pas porter son arme de service et a du se résoudre à acheter un pistolet de femme, glissé dans une de ses guêtres. (...)
Comme envoûtées par des forces supérieures, les mains commencent à remonter sur les bras et s'égarent sur lescorpsdes convives alentours. On se cherche dans le noir, on se trouve, alors que la musique de l'orchestre n'est plus qu'en lent roulement de tambour assourdi, parfois coupé par des chuchotements ou des petits cris. (...)