Histoire de Paris (1)
sur Maëlkavian
Avant les Gaulois : C'est à l'arrivée du Ve siècle avant JC est des colonisateurs venu du Danube qui constituèrent de petite communauté maîtrisant l'agriculture l'élevage et la poterie. En 1250 avant JC, Lutèce n'existe pas encore, mais les Gangrels sont déjà là. Esus arrive avec les premiers Gangrels. Ils sont assez solitaires mais leur habitude/capacité à se nourrir sur les animaux de la forêt et non pas sur les mortels font que : - ils peuvent se réunir en groupes, pour des cérémonies ...Contient : garous (18)(...) Ils sont assez solitaires mais leur habitude/capacité à se nourrir sur les animaux de la forêt et non pas sur les mortels font que : - ils peuvent se réunir en groupes, pour des cérémonies primitives, - ils restent neutres avec lesGarous. Ceux-ci les considèrent comme des animaux comme les autres. Ils se nourrissent du sang de la forêt, tout comme eux, et ont forme humaines et animales, tout comme eux. (...)
Satisfaits de leur sort en général, ils ne se confrontent que peu. Néanmoins, un événement va les pousser à se réunir : une guerre chez lesGarous. Les Ours contre les Loups. Les vampires de la région, ne se faisant pas confiance, se retranchent chacun dans leur domaine. (...)
Esus était connu depuis des générations par les Gangrels de tout le pays et même bien plus, de par ses liens importants avec lesGarousainsi qu'avec les Changelins. Nul ne connaît ni ne connut véritablement la nature de ces liens, mais tous le respectaient et l'assistaient lorsqu'il le demandait. (...)
Esus rencontra individuellement tous les vampires des villages et leur expliqua que la guerre entre lesGarousferaient de terribles ravages (comprenant leur destruction) s'ils ne faisaient rien. Il organisa des réunions entre eux, en groupes différents ou dans leur intégralité. (...)
Mais cet Infant se révéla plus puissant physiquement que son Sire et lui servit de messager et de garde du corps. Les Vampires comme lesGarousne pouvaient supporter l'existence même d'une telle créature. Il n'agit donc que dans l'ombre, inconnu de tous. (...)
Afin de faire bon voisinage (et sous la menace de leur présence), deux de ces villages furent laissés à l'administration complète desGarous. Cette promiscuité entre des ennemis légendaires fut orchestrée par les Lhiannan (avec le soutien de Esus) et le passage par des intermédiaires goules et mortels. (...)
Une armée à la recherche d'une ville ne craignait pas un simple village, mais se retrouvait vite avec une demi-douzaine d'armées terriblement efficaces les entourant. Les Vampires des Lutètia : Au gré des ans, des conflits éclatèrent, des vampires moururent, desGarousfurent remplacés par de plus jeunes, des villages apparurent ou disparurent. Mais certains vampires restèrent tout au long de ces époques finalement calmes : - Inigra, Lhiannan, Maîtresse des Saisons. (...)
Il savait être particulièrement dangereux lorsque son village était en danger. Dans un magnifique geste, il accepta de se sacrifier auxGarousplutôt que ceux-ci ne détruisent le village pour le trouver. Il pleura des larmes de sang tout en ouvrant son torse au coup meurtrier, mais une sortie des artistes guerriers de sa ville démontra auxGarousque, s'il était une créature de la nuit, certains mortels préféraient se sacrifier plutôt que de laisser mourir sa force d'inspiration. Impressionnés, ils s'en furent après s'être assurés qu'il n'y avait eu aucune manipulation. (...)
Mais il était jeune et s'était laissé guidé par l'envie des conquêtes des mortels et de leur envie de transformer le tout en une terre à leur service. Il les avait aidé, lutté contre les Ours-Garous, subit de terribles pertes et défaites, les avait aimé, avait créé des fils en leur sein. Il avait atteint un âge vénérable, même pour un vampire, un pouvoir rivalisant celui d'Esus et des plus puissantes créatures de ces terres. (...)
Tircan aimait Esus et il resta dans la région, feignant l'ignorance de son Sire, mais prêt à lui porter secours. Peu savent son origine. Il a gardé fort peu de choses de sa proximité desGarous, sauf une bonne connaissance de leur manière d'opérer et de leurs mythes. Il n'a jamais cherché à les rencontrer par la suite, par peur (et avec raison) pour sa survie. (...)
Il a gardé certaines croyances : respect de la vie, de la nature. Il est le conseiller des Caïnites de la région quant à la diplomatie avec les envoyésGarousmais refuse lui-même d'aller discuter. Les autres savent bien qu'il cache quelque chose, de par cette connaissance même, ils n'apprécient pas non plus sa nature secrète et paranoïaque, mais il détient un savoir utile et est puissant. (...)
Elle passe pour une pacifiste forcenée. Mais un événement la rendue très peu populaire mais aussi respectée auprès desGarous: pendant la guerre contre les Ours-Grous, une meute de Loups enragés la croisèrent et, tout naturellement, voulurent la détruire. (...)
Ils furent alors emportés contre leur gré dans l'Umbra, afin que les totems exigent d'eux la paix face à cette personne mort-vivante. Il sen furent très choqués et répétèrent ces mots à leur Tribu. Depuis lesGarousévitent le chemin d'Annirah, mais cherchent activement l'explication à cette révoltante anomalie. (...)
Aux alentours, un cappadocien du nom de Bräolis peut être trouvé : il a une sorte de palais défendu par une petite armée contre lesGarousqui sentent bien la mort entourer cet endroit. C'est là une des grandes causes de problème avec les vampires de la région. (...)
Il a trouvé la meilleure cachette qui soit: au coeur de l'Armée Romaine où les seuls qui puissent retrouver son Sire, ses ennemisGarous(pas tous lesgarous, seulement ses ennemis parmi eux) et leurs rites chamaniques, n'osent pas attaquer. La rive gauche (sud) commença à être habitée. (...)
C'est en faisant appel à l'intelligence et à l'esprit d'initiative de ces goules que la victoire est possible. (En effet, impossible d'avancer avec cette armée pour un Vampire : trop deGarousdans la région). Pendant ce temps, à Paris, les Lasombras essaient de prendre le pouvoir et d'organiser une structure solide. (...)