Le Paradis Perdu
sur Mister Frankenstein au format (155 Ko)
Cette aventure débute en France, dans le Jura, et se développe entre lac et forêts en plein territoire Suisse. Les personnages rencontrent une jeune fille amnésique puis découvrent l'étrange contenu de son appareil photo : une série de clichés qui va les emmener en quête d'un lieu paradisiaque, promesse d'un Eden où les hommes peuvent vivre en harmonie avec la nature. Parallèlement, ils seront confrontés aux agissements d'un chercheur ayant perdu la raison et aux créatures qu'il vénère ...Contient : communautés (4)(...) Parallèlement, ils seront confrontés aux agissements d'un chercheur ayant perdu la raison et aux créatures qu'il vénère et transporte en son sein. Au menu : des villages en ruines, plusieurscommunautés, d'épaisses forêts, des larves blanches, des morts, un lac, des fourmis ainsi qu'un abri antiatomique. (...)
Ils sont soixante hommes et femmes bien portants et tentant tant bien que mal de remettre en état le réseau ferroviaire de la région pour relier les différentescommunautéset, qui sait, peut-être pouvoir même se rendre jusqu'au tunnel du Mont d'Or.. Si les personnages les questionnent au sujet de Sanson, ils se monteront amicaux. (...)
L'adapté savant fou espère revenir à l'abri avec un troupeau d'adaptés près à coloniser de nouvellescommunautés. Il est équipé d'une besace d'un modèle identique à celle portée par Victoire. A l'intérieur se trouve plusieurs objets dont des bocaux contenant du sucre pour nourrir et abriter de futurs Formicas mais un seul objet est véritablement important : un CD audio qui, s'il est écouté, est rempli de bruits parasites. (...)
L'histoire, épisode 2 : Après avoir ouvert l'abri aux fourmis, Sanson quitte le complexe à la recherche d'une nouvelle communauté humaine à parasiter pour le bon développement des créatures. Il cherche à construire une armée qui permettra de coloniser toujours plus decommunautéset, pour cela, il a besoin de deux types de personnes : des humains sous influence phéromonale, servant de soldats acquis à la cause, et des « fourmilières vivantes », accueillant dans leurs corps une reine et ses enfants permettant de facilement mouvoir les différentes colonies. (...)