Mon Klingon et moi : Dur dur d'être un bourrin !
sur Bastion rôliste
Savez vous qu'interpréter un personnage bourrin est une expérience loin d'être aisée ? Et qu'un personnage plein de muscles survit moins longtemps qu'un petit malin ? Je vais vous expliquer pourquoi. D'abord, ma première (et pour l'instant seule) expérience de Jeu de Rôles Grandeur-Nature (GN). Remplaçant un participant au pied levé, c'est dans la voiture vers la Normandie que je fis connaissance du background et de mon personnage. Le thème du GN était une sorte de grande rassemblement de ...Contient : survivre (3)(...) Mais comment un personnage aussi provocateur et aussi stupide peut-il éviter de se mettre dans des ennuis mortels, tout en se faisant des ennemis qui eux, peuvent attaquer dans le dos? J'en ai déduit qu'un personnage purement bourrin était irréaliste, et finalement plus dur à fairesurvivrequ'un personnage qui ne cherche pas le combat. Parce que dans les combats, - attention à la révélation! (...)
Une fois de plus, le bourrinisme de mon personnage, loin de lui sauver la vie, le condamnait rapidement. Moi qui joue rarement cette sorte de personnage, je trouvai que les fairesurvivreest l'exercice le plus difficile qui soit. Un voleur, un magicien peuventsurvivreà leurs erreurs dans leurs métiers ; un guerrier meurt de ses erreurs, et rarement dans son lit. Et que ces expériences soient une invite aux MJ que les personnages bourrins ennuient : si les règles font des PJ guerriers des grosbills, disproportionnez les forces des adversaires ; si les règles ne favorisent pas spécialement les PJ guerriers, mettez les face à des adversaires à leur mesure. (...)