[théorie théoricienne] Conflits et Emma Frost…
sur Tartofrez
Comme cela fait pas mal de temps, que j'ai pas mis de super héroïne sur ce blog, voici un message de plus à la suite de celui « qui ne sert à rien ». A priori autour de la notion de conflit en temps qu'élément narratif (et surtout ludique, mais encore une fois, je ne garantis pas le passage de l'un à l'autre). C'est comme presque toujours quelque chose de très ancien (on le relit à l'Agon grec, auquel pour la petite histoire Roger Caillois faisait aussi référence pour parler de l'aspect compétitif ...Contient : types (2)(...) Elle possède en général un certain nombre d'étapes, mais en compte au minimum trois : la montée en puissance, la péripétie et le dénouement. Selon papy Aristote, la péripétie peut être essentiellement de troistypes: le retournement de situation, la révélation ou la catastrophe. Mais pour arriver à ce point central, il faut bien entendu que la situation évolue depuis son point de départ jusqu'à là où on veut la faire se développer. (...)
Généralement ces scènes peuvent être définies de bien des façons mais elles ont toutes un but, ce qui peut être une différence de taille avec pas mal de parties de jdr classiques comme indies, et pas forcément bénéfique. A vue de nez, on peut distinguer au moins troistypesd'objectifs (on en trouve bien d'autres sur le net en cherchant un peu), une même scène pouvant en avoir plusieurs : faire avancer l'histoire, souvent par : un conflit (c-a-d un obstacle, interne ou externe); une révélation. (...)