L'utilisation de la Folie et des Troubles Mentaux en
JDRContient : mineurs (2)(...) Avertissement : Même si cela peut sembler évident, je rappelle que certains conseils donnés ici peuvent être assez dérangeants pour les personnes un peu sensibles, tout comme interpréter ou faire interpréter les troubles mentaux lors d'une partie de JDR peut avoir un certain impact. En particulier si les joueurs sont des enfants oumineurs, ou des personnes particulièrement vulnérables, je vous déconseille l'utilisation des troubles mentaux avec ce genre de public sensible... Il ne s'agira pas non plus de traiter de psychologie et de psychiatrie véritable, mais de s'inspirer de troubles mentaux réels pour les adapter de manière romanesque et intéressante pour l'ambiance dans nos parties de JDR. (...)
Coppola, où le serviteur du comte (Mr Renfield), enfermé dans l'asile psychiatrique, se mange goulument sa plâtrée de vermine grouillant dans sa gamelle : araignées, mille-pattes, vers et larves d'insectes... - Cannibalisme (merveilleuse source d'inspiration : Anthony Hopkins alias Hannibal Lecter dans Le Silence des Agneaux...) - Tendance à la nécrophagie... Si vous jouez dans une ambiance particulièrement sombre, glauque et adulte (PARENTAL ADVISORY !! INTERDIT AUXMINEURS!!), vous pouvez aussi lorgner du côté des troubles de la sexualité. De divers fétichismes très prononcés jusqu'à des déviances carrément malsaines (sadomasochisme, nécrophilie, voire pédophilie, etc...). (...)En jeu de rôles, le terme « folie » peut prendre bien des aspects et impliquer des éléments bien différents selon le type de partie et d'ambiance générale. Véritable sujet tarte à la crème, en particulier si la folie concerne un PJ, avec autant de manières de la traiter qu'il y a de MJ et de joueurs... Outre l'utilisation de la folie chez des PNJ comme élément d'ambiance, voici une réflexion et quelques techniques quand à la manière de gérer les effets sur la santé mentale des personnages favoris de ...