Fell on black days
sur Eric Christ au format (1.8 Mo)
Contient : pieds (6)(...) Les personnages doivent sentir qu'ils ne sont pas le bienvenus dans la ville, et ce dès qu'ils y mettent lespieds. Que la paranoïa commence... Les sources : - LES VAMPIRES : Chez les Ventrues Une rencontre est mal venue. (...)
Avec l'aide de quelques sphères, la cabale pourra aisément détecter la présence d'une caméra vidéo bien cachée. Elle est reliée au QG des Ventrues. Les personnages seront repérés dès qu'ils mettront lespiedsdans cet appartement. S'ils attendent dès lors des événements, ils ne seront pas déçus car les Ventrues leur rendront une petite visite... voir paragraphe "Visite nocturne". (...)
Mais là n'est pas la seule surprise que réserve l'endroit dans lequel les personnages viennent tout juste de mettre lespieds. En poursuivant, la cabale arrive au bout de la salle et franchit une première porte pour découvrir une seconde salle tout aussi lugubre. (...)
Cette mort avait toujours marqué WH et cette scène (torturée) en est la traduction. Sur une autre plate-forme une jeune femme est étenduepiedset poings liés, les yeux bandés et un baillon sur la bouche. Elle se débat pour se libérer. A côté d'elle un mot est écrit : « quand la soif viendra, cette fille est pour toi. (...)
Les personnages réaliseront alors se trouver dans une sorte de petite boutique des horreurs où l'on retrouve tous les noirs souvenirs et pensées qui se blottissent dans un coin de l'âme de WH. Bientôt une rumeur enfle à travers toutes les salles, venant du gouffre qui bée sous lespiedsdes personnages. Ces derniers voient monter à grande vitesse une nuée de créatures vampiriques aux ailes de chauves-souris sorties des pires films d'horreur de seconde zone. (...)
Il est possible à partir de là d'appliquer un scénario sensiblement identique à celui développé pour le psychiâtre. - une troisième hypothèse: à partir du moment où les mages mettent lespiedsdans le dixième cairn, ils sont automatiquement repérés par les Technomanciens qui vont les pister et s'en prendre à eux très rapidement. (...)William Hikes était un américain issu d'un milieu social aisé, plutôt satisfait de son sort. Il était jeune, il était bardé de diplômes et vivait dans la banlieue chic de Seattle avec une charmante compagne nommée Benedicte. Doté d‘une force de caractère peu commune, il était toujours parvenu à ses fins et pouvait se targuer d'une réussite que ses amis d'école lui enviaient. Tout allait pour le mieux, en somme. Aujourd'hui William Hikes est mort et c'est tout Seattle qui ...