Le journal de Kasumi : Jours de classe
Contient : cité (6)(...) A la sortie de mon bain, quelqu'un frappa à la porte et je m'empressai d'ouvrir : un bel homme habillé d'habits assez chics me faisait face, il se présenta comme Maxence, mon professeur de mathématiques. Et il était venu me chercher pour mon premier jour de classe ! On se rendit dans la bellecitéd'Ambre, de style médiéval, où trônait fièrement une gigantesque statue de Robin...pour qu'enfin l'école se montre, là, devant moi, entourée de son petit parc. (...)
Et l'un d'eux était un voyage en mer...les quelques années à venir auraient comme un léger parfum de concurrence... Enfin la classe put débuter, le nombre d'élèves étant au total d'une dizaine : - Glinain, un Ambrien de lacité, brun à l'air bagarreur et franchouillard - Gwyneth, une Ambrienne de lacité, blonde - Kaer, un Ambrien de lacité, au sourire provocateur - Mwet, un Ambrien de lacité, au crâne rasé - Kwet, une Ambrienne de lacité, avec des couettes (...) - Zeo Leo, un Ambrien (voir le chapitre deux) - Morrigan, une Ambrienne (voir chapitre deux) - Mordred, un Ambrien, mal coiffé, l'air déterminé et peu engageant (voir chapitre deux) - Et restait un dernier et mystérieux élève qui arriverait un jour ou l'autre... Les premiers cours commencèrent avec un peu de mathématique, de lecture (j'acquis ainsi mon premier livre de la bibliothèque, un bel ouvrage plein de rêves et d'aventures) pour la matinée. L'après-midi se distingua du matin par son cours d'escrime, matière enseignée par le tonton Ixaani. Le cours fut difficile, mon rejet des armes et de tout ce qui avait trait au combat y concourant. L'idée de donner la mort, d'enlever une vie me semblait trop inconcevable tant cela me paressait précieux. Dans ma tête, j'imaginais combien la mort devait être effroyable, comme une sorte de solitude infinie et glacée...brrrrrrrr...j'avais des frissons dans le dos, rien que de penser au triste sort des défunts. (...)Demitri m'apporta le petit déjeuner et la journée démarra tranquillement, mon cochon mangeant à côté de moi...quand un bref miroitement de lumière à l'une de mes mains accrocha mon attention. Etonnée, je découvris alors glissée à mon doigt une bague qui n'y était pas la veille et que je n'avais jamais possédée ni vue en un quelconque endroit. Elle était argentée et une licorne était dessinée dessus...y avait-il un lien avec le rêve de cette nuit ? Je la trouvais toutefois fort jolie, et même si je me ...