Rituel sanglant sous une lune gibeuse
sur La Page à Papat au format (14 Ko)
Un pastiche des oeuvres de Howard, Moorcock et quelques autres. Un récit viril plein de sang et de fureur (à ne pas prendre au sérieux, bien sûr). Pour sûr, ça ferait un bon scénario, d'ailleurs vous avez de quoi l'adaptez à Warhammer à la fin. Leur seule vue aurait suffit à glacer le sang de n'importe quel guerrier. Il y avait là un ogre, vêtu de la célèbre tenue des mercenaires de Kislev aux couleurs flamboyantes, et bien que ses 2.50m était imposant, il était encore jeune. Il marchait d'un ...Contient : feu (6)(...) La clairière était couverte de dolmens si anciens que la pierre semblait refléter les scènes d'un immémoriale passé. Au centre de la clairière se dressait un gigantesquefeude bois, dont les flammes semblait vouloir embraser le ciel étoilé. Tout autours dufeuse déhanchaient des hommes bêtes du chaos, leur face immonde révélant un faciès inhumain déformé par le rictus d'une joie démoniaque. Tous présentaient des difformités chaotiques : aspect animal pour l'un, membres supplémentaires pour d'autres, tentacules luisantes, peau écailleuse ou en lambeau... Les mutants formaient une sarabande grotesque entourant lefeu, des rires démoniaques retentissant dans la nuit. Légèrement en retrait, se trouvait une pierre basse, un vieil autel présentant encore le sang séché des multiples victimes sacrifiées en des rituels impies. (...)
Ils bondirent tout deux dans la clairière en poussant des cris de guerre et chargèrent le groupe de mutant. La surprise fut total. Grom d'un coup de coude repoussa un mutant dans lefeu, celui-ci émit un cri strident lorsque sa fourrure pritfeu, le carbonisant en un instant. Drumin sûre de lui, bondit sur trois créatures. D'un coup de hache, il éventra la première avant qu'elle eut pu esquisser un geste. (...)
Dans la clairière, régnait la terreur et la peur. Les quelques mutants encore vivants s'étaient regroupés autours dufeu, espérant ainsi voir venir l'ombre terrifiante du nain, apportant avec elle mort et destruction. (...)