Le Périple des Sept
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Le Mythe de Cthulhu est intemporel. Suivant l'exemple des scénarios présentés dans le recueil « Etranges Epoques » et des scénarios Rome Antique, Chine et Egypte/Babylone des trois années précédentes, voici un scénario se déroulant dans l'Empire Perse (Memphis, Babylone, Persepolis, Pasagardes), à la veille de l'avènement de Darius 1er de la dynastie Achéménide. Si vous avez besoin de conseils ou d'éclaircissements, n'hésitez pas à me contacter sur Internet (edubourg@clubinternet. fr). Ce scénario ...Contient : dieux (19)(...) Ce démon, moitié homme et moitié oiseau, aurait volé les Tablettes de la Destinée» à Enlil et les a caché dans la montagne. Anu a alors ordonné aux autresdieuxde retrouver les tablettes, bien que tous craignaient l'oiseau. Selon un texte, Marduk a tué l'oiseau, mais dans un autre il est mort par les flèches du dieu Ninurta. (...)
Les Manuscrits Pnakotiques : Dans les Manuscrits Pnakotiques, il y a quelques références éparses aux démons Pazuzu et Anzu, qui auraient été desdieuxadorés de l'Hyperborée. Il y a d'indiqué un rituel d'invocation à Anzu. Le rituel de rappel ou d'invocation s'effectue sur plusieurs générations, et selon le texte, presque impossible à réaliser car il faudrait que le principal conjurateur soit immortel. (...)
Les Voormis vénèrent le dieu crapaud (il y a une grande statue de leur dieu en place centrale du village), et ont connaissance d'autresdieux, qu'ils considèrent avec mépris, d'une part Yig le dieu des serpents, les ennemis héréditaires (bientôt cela sera les humains ! (...)
Il y a des nuages d'encens, de longues plaintes, des psalmodies, des exhortations à la clémence desDieux, des chants sacrés rythmés par quelques percussions, quelques flûtes et quelques harpes. Au cours de cette cérémonie, chacun cherche à donner le meilleur de lui-même. (...)
Ainsi grâce au travail de nos savants qui sont arrivés à déchiffrer les hiéroglyphes et l'écriture cunéiforme gravée sur des tablettes d'argile séchée, nous pouvons vérifier des quantités d'informations concernant la vie comme elle s'est déroulée il y a ' plus de 50 siècles dans l'ancienne Mésopotamie ' étude intéressante où l'on constate comme dans l'Egypte des premières dynasties officielles des périodes de haute spiritualité où les hommes sont bons et pacifiques et puis brusquement elles sont remplacées par des périodes de grandes violences et des règnes de rois qui se font adorer comme des grandsdieux... Notre étude n'a pas pour objectif d'étudier tous les rois et toutes les guerres entre royaumes et petits Etats, mais de souligner le côté valeureux et les valeurs morales des premiers rois connus de Sumer afin de comparer les croyances et les valeurs morales aux autres peuplades contemporaines qui peuplaient le Moyen-Orient Antique. (...)
' Il ordonna de faire précéder son nom sur les tablettes du signe de l'étoile (signe distinctif desdieux). Même si Lugalbanda et Gilgamesh avaient été déifiés après leur mort, Narrâm-Sin devenait en son pays le premier dieu-roi de son vivant. (...)
UR-NAMMU serait mort en combattant et son corps fut ramené à UR pour y être enterré solennellement avec maints trésors qu'il emporta avec lui pour s'attirer les bonnes grâces desdieuxdans l'au-delà. Son fils SHULGI lui succéda de -2094 à -2047. Durant ce long règne, il mena onze campagnes au Kurdistan pour s'assurer le contrôle de la grande route qui remonte le Tigre vers l'Arménie. (...)
D'autres les estiment comme des véritables prêtresses qui avaient pour mission de chanter des hymnes auxdieuxet de leur transmettre les sacrifices offerts par le peuple. Parfois on leur amenait des gens hantés par de cruels démons qu'elles devaient essayer d'exorciser. (...)
Ils dévorèrent tous les objets en cuir et les toiles des tentes, puis contaminèrent par les puces pestiférées qu'ils portaient, des milliers d'hommes de la peste... La justice du ciel venait de s'exprimer et Sénnachérib qui y vit une punition desdieuxrentra immédiatement à Ninive. Sept ans plus tard, dans les premiers jours de l'an -681, il fut poignardé par un ses fils pendant qu'il priait le dieu Nabu (dieu Babylonien des lettres et de la science ) dans son temple. (...)
Les Assyriens et Chaldéens croyaient que 'chaque homme est le fils de SON dieu' ce dieu qui lui sert d'intercesseur auprès d'autresdieuxplus élevés, c'est pourquoi depuis le temps d'UR NAMMU (-2112 à -2095) ils priaient et parlaient à leur dieu en se tenant debout devant lui. (...)
L'histoire du prophète Jonas écrite dans la Bible est un excellent symbole qui met en relief : l'intime conviction des assyriens qui craignaient la colère desdieuxétrangers et l'antipathie existant déjà entre arabes et juifs. Comme Elie, Jonas (-783/-743) est un prophète du royaume d'Israël, né près de Nazareth à Gat Hépher, ce qui le situe juste avant les prises de Damas (-732) et de Samarie (-722) même si certains religieux contestent aujourd'hui la validité de son message, l' attitude de Jonas était tout à fait conforme à l'esprit de son époque. (...)
En -647 voit la chute de Suse capitale de l'Elam. Sa Ziqqurat est rasée jusqu'au sol, ses temples seront profanés, les statues desdieuxseront réduits en miettes, tout l'Elam fut entièrement dévasté, saccagé, incendié... Les tombeaux des anciens rois furent profanés, les ossements jetés au soleil pour que leurs ombres ne puissent jamais plus trouver de repos ! (...)
Or une croyance attribuait la disparition des quartiers de lune à l'influence des démons. Lorsque Nabonide déclara qu'il voulait remplacer au sommet du panthéon desdieux, le grand Marduk et même le dieu Enlil par le petit dieu Sin, des rumeurs coururent à Babylone que Nabonide était devenu fou et qu'il adorait les démons. (...)
En principe, le souverain détenait une autorité absolue. On le considérait comme un être humain, mais pourtant aussi comme le délégué desdieuxsur terre, en particulier de Assur, la divinité principale, représenté par un disque ailé. Le souverain se trouvait à l'écart des simples mortels. (...)
Le souverain se trouvait constamment astreint à des observances pénibles comme celle de jeûner ou de faire des retraites d'une semaine dans une cabane de roseaux. Parfois les présages laissaient entendre que lesdieuxn'étaient pas satisfaits. Le signe le plus inquiétant était une éclipse de lune ou de soleil, qui passait pour annoncer la prochaine disparition du monarque. (...)
Le roi devait alors quitter temporairement son trône en faveur d'un délégué qui assumait la responsabilité du pouvoir tant que durait la colère desdieux. Au bout de 100 jours, le monarque reprenait sa place; le malheureux délégué et sa femme étaient alors exécutés, probablement pour accorder auxdieuxla mort du souverain qu'ils avaient annoncée. Les rois comme les sujets se croyaient entourés de hordes de démons et dedieux. Le plus odieux et le plus redouté de ces esprits maléfiques était la déesse de la fièvre, Lamashtou, qui se complaisait au meurtre des enfants et des femmes enceintes. (...)
Par l'intervention d'un exorciste, appelé ashipou, ils pouvaient être facilement bernés. Les exigences desdieuxet les attaques des démons limitaient l'autorité royale. Aucun souverain assyrien ne pouvait prendre une décision sans consulter une foule de prêtres, d'oracles, de devins, d'astrologues, de diseurs de bonne aventure qui constituaient de véritables puissances à l'ombre de la monarchie. (...)