Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : sagesse (4)(...) En particulier, elle brûlait du désir de découvrir l'un d'entre eux, responsable du Jour et de la Lumière, un enfant innocent et pourtant plein desagesse, un être radieux et pourtant infiniment triste et blessé. Elle le nommait Diurne. Une rencontre en 1064 avec un étrange saisonin changea encore sa vision du monde. (...)
Boudé par les chevaliers, raillé par les barons, il n'en attira pas moins plusieurs esprits éclairés et curieux, venus des quatre coins de l'Harmonde pour chercher à développer entre ses murs une science qui explorerait les actes et les songeries des hommes, qui seraient à même d'expliquer leur folie comme leursagesse. En 1185, le Collège de Puisame, contraint de diversifier son enseignement, se structura en différenciant deux voies d'exploration, à l'image de la théorie originelle d'Héliame mais dépassant sa matière d'origine pour offrir un vaste éventail de savoir : Les Eïdelios se consacrent aux sciences dîtes du soleil : logique, mathématiques, stratégie militaire, grammaire et rhétorique, droit, etc. (...)
Contre toute attente, Bertoeil accepta de rencontrer le Premier Liturge et aussitôt après plaça officiellement sa science au service de la Liturgie, reconnaissant en Saint Neuvêne la source de tout savoir et l'inspirateur de toutesagesse. Le Collège quitta la Janrénie pour les hauts murs d'un monastère liturge. En 1269, Il nomma Armador de Guisel, son ancien bourreau, à la tête des Eïdelios. (...)
Aux Ombres d'Abyme et la Romance du Démiurge) il se renseigna, après ses études auprès d'un psycholune, sur les démons lunaires et sur les Opalins de la Romance, fasciné par l'existence de tels sentiments chez des démons. Conjurateur lui-même, il eut lasagessede s'arrêter à temps dans la descente aux Abysses et ne pas devenir un Ténébreux. Il s'est passionné pour l'étude de la psychologie particulière des Démons. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...