Encyclopedia Ilvaniris
sur R.E.D.O.N. au format (4 Mo)
Contient : campagne (8)(...) C'est au joueur de proposer une origine particulière, s'il le souhaite (« mon guerrier pourrait être le fils d'un commerçant aisé des faubourgs de Pavis, un Tavernier installé par exemple ? »), et au Maître de Jeu de disposer en fonction de lacampagnequ'il souhaite mettre en place. Pour les « accrocs » de la règle à tout pris et les « maniaques » du tableau, je me bornerai simplement à donner les quelques chiffres suivants : la société médiévale se décompose comme suit (variations importantes selon les Etats) : - noblesse : 1% de la population. (...)
Il n'est pas attaché à la terre et peut partir s'il le souhaite. Il paye l'impôt par le fruit de son agriculture. II. Villes etCampagneen Ilvanir. Il existe des différences fondamentales entre les sujets d'un même Etat moyenâgeux. L'une de ces différences essentielles concerne le lieu de vie : ville oucampagne. 1°) Catégories. Pour bien préciser nos propos, attachons nous à bien définir les mots qui régissent la vie humaine au moyen-âge. (...)
000 habitants Village + de 200 habitants Hameau + de 20 habitants Lieu dit de 1 à 20 habitants 2°) La vie en ville. La vie n'y est pas forcément plus facile qu'encampagne. Au quotidien, ce qui domine c'est avant tout « l'in-sûreté » des rues et des quartiers. Les voleurs sont nombreux, souvent dangereux, car ils n'hésitent pas à s'en prendre physiquement à celui qu'ils veulent détrousser. (...)
Ainsi que par la sécurité qu'offre le nombre face aux menaces ennemies (Etats voisins belliqueux, razzia orques, ...). On rase moins souvent une ville qu'un hameau ! 3°) La vie enCampagne. Mettre un terme à une idée reçue : on n'y mange pas mieux qu'en ville, en tout cas en cette période médiévale qui nous occupe. (...)
Certes, les groupes de voleurs sont presque absents des villages et des hameaux (tout le monde se connaît et les vérités se répandent vite), mais les brigands menacent dans lacampagneet rendent les routes peu sûres... Principalement dans les périodes de disette. De plus, Les bandes d'orques ou de gobelins font peser fréquemment des menaces sur la survie de la collectivité. (...)
Son utilité à distance est évidente et ses traits son meurtriers face aux corps d'arme légèrement protégés. La portée des tirs en cloche, très utiles encampagne, peut atteindre 200 mètres et plus. Piquier : 150. A pieds. Protégé de simples vêtements ou d'une cotte matelassée, il est léger et mobile. (...)
On distinguait encore les béhourdis, ou sièges simulés ; les combats à la barrière, où deux partis luttaient à pied, avec la hache, l'épée et la masse d'armes, pour se jeter l'un contre l'autre hors de la lice ; et les pas d'armes dans lesquels un ou plusieurs chevaliers, ayant choisi quelque étroit passage en pleinecampagne, y plantaient leur bannière et défiaient tout venant. Un seigneur de Touraine, nommé Geoffroi de Preuilli, rédigea un code des tournois qui, dès son vivant, servit de règle en cette matière. (...)L'encyclopédie Ilvanirienne... Le sujet est naturellement vaste évidemment. D'ailleurs trop vaste, sans doute, pour un seul ouvrage. Aussi certains éléments ont été volontairement extraits de ce travail encyclopédique pour être présenté ailleurs, dans d'autres livrets. C'est le cas des armes et des armures, qui font l'objet d'un livre particulier. C'est le cas aussi des références et des travaux géographiques, présentés dans un autre ouvrage. C'est enfin le cas de l'histoire et de la religion qui ...