Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : colère (5)(...) On dit que l'oracle prédit un jour la destruction de Jergath par Houbal et que pour empêcher un tel cataclysme, les mages de la ville de Sagurtha construisirent un piège qui priverait le dieu de sacolèredestructrice. Ce piège prit la forme d'une mosaïque, un labyrinthe de tesselles représentant la cité détruite par Houbal. (...)
Lorsque Houbal eut compris ce qu'il se passait, il parvint immédiatement à sortir de la mosaïque et ravagea Sagurtha par punition divine pour le tour qu'on lui avait joué. Mais il était trop tard, toute sacolèrecontre les Agalanthéens, tout le pouvoir de destruction dont il jouissait contre Jergath l'Agalanthéenne, était pris dans la prétendue indestructible mosaïque. Pourtant, Houbal détruisit la cité agalanthéenne, sanscolère, par la seule force que lui insufflaient la foi et l'espoir des futurs saabi. Puis il revint sur les ruines de Sagurtha et cassa la mosaïque... rien n'est impossible à Houbal, dieu des dieux. Revigoré par sa proprecolère, Houbal repartit alors en guerre. La légende prétend que des résidus de lacolèredu dieu demeurent dans les fragments de la mosaïque éclatée. Ces fragments, envoyés avec les ruines de la ville en sept points de Jazîrat, contiendraient donc un grand pouvoir. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...