Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : existence (3)(...) En plus de respecter les sorciers des trois écoles, on partage et honore leur chagrin : les plus jeunes devront tuer leur aimée, les plus expérimentés en portent déjà le deuil, pour toute leurexistence. Bien entendu, tous les mages ne sont pas de sombres dépressifs traînant leur neurasthénie en public. (...)
Quartier commerçant et diplomatique, le comptoir abrite entre autres choses une école de gladiateurs (et l'arène qui va avec), une petite académie de rhétorique, un théâtre largement délabré mais accueillant encore quelques festivités et surtout, un nombre incalculable de logements pour les ouvriers des mines du désert des gouffres. En effet, depuis l'existencede Yasminabad, les prisonniers agalanthéens et leurs descendants ont toujours été envoyés à la mine. (...)
Quatrième Parole : Le mage peut désormais transférer les points de Shaytan gagnés vers le spectre de son épouse. Il lui suffit d'en faire le choix (à moins qu'AlRawi ait décidé de garder secrète l'existencedu Shaytan, auquel cas c'est à lui de gérer le transfert des points vers le spectre) à chaque fois qu'il lance un sort. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...