Dungeons & Dragons 4 : Le Guide du joueur
sur Petit Peuple
Contient : rôle (8), role (2), play (3)(...) Cela est peu surprenant, au regard des nombreux changements qui ont eu lieu pour cette édition, qui se veut à la fois « un retour aux valeurs » qui ont permis le développement du premier des jeux derôle, mais également une « modernisation du système ». Retour sur ce jeu fort en surprise ! Les nouveautés de cette édition : Finis le Demi-orc et le Gnome ! (...)
Physiquement, ils possèdent une queue et des cornes, ainsi que d'autres « joyeusetés » démoniaques. Au niveau des nouvelles classes, deux ajouts sont faits. Tout d'abord, le Maître de guerre. Lerôlede ce dernier est d'aider ses compagnons, en donnant des ordres afin d'organiser l'attaque et la défense de son groupe, et de le mener à la victoire. (...)
Cependant, la petite incohérence de cette classe est qu'elle est vivement conseillée aux Tieffellins, mais ces derniers sont par nature des êtres qui inspirent la méfiance - or, le maître de guerre est un personnage auquel les autres membres du groupe doivent forcément faire confiance. Cela peu toute fois faire l'objet d'unrôleplayintéressant pour peu que les joueurs s'en donnent la peine. La seconde nouveauté est le Sorcier. Ce dernier est un magicien qui a passé un pacte avec des puissances magiques (qu'elles soient féeriques ou démoniaques) afin d'accroître ses pouvoirs. Sonrôleprincipal est de causer beaucoup de dégâts à l'ennemi. Pour ma part, il me rappelle beaucoup un certain Démoniste de World of Warcraft. (...)
La place prépondérante des figurines, qui est plus importante que pour la 3e édition du jeu, rappelle indubitablement que ce jeu derôlepuise ses origines dans le jeu de figurines. Par contre, contrairement à ce que j'ai pu entendre, je ne tomberai pas dans l'excès : « la quatrième édition, ce n'est que du jeu de plateau ». (...)
Il ne faut rien exagérer : même si les figurines peuvent avoir leur intérêt dans un placement de combat (comme dans beaucoup de jeux quand la situation devient tendue...) il ne faut pas faire une fixation dessus. Lerole-play, comme dans n'importe quel jeu derôle, a une place dans cette 4e édition. Au fond, on ne trouvera dans la 4e édition, que ce que l'on voudra y mettre... Coude à coude, Sheddin le guerrier et Oriana notre chef empêchaient que nous, les arrières, soyons débordés. (...)
Je pense que c'est pour cela que beaucoup de joueurs ont l'impression d'avoir à faire à un jeu de plateau. Néanmoins, cette édition permet d'ouvrir le jeu derôlevers un public neuf, et ceci n'est en aucun cas négligeable. De plus, Dungeons & Dragons 4 est un train bon jeu en coopération, où le groupe prime sur l'individualité, sous peine de voir les ennemis triompher. Cependant, la mécanique de groupe n'est pas un ennemi durole-playet des historiques des PJ, autour desquels de très belles intriguent peuvent être construites. Plus qu'avant, le plaisir de jouer se trouve ici dans l'envie de triompher ensemble de l'adversité. (...)
Pour ma part, je trouve cela vain, car il ne s'agit - paradoxalement - pas vraiment du même jeu, dans le sens où ce sont deux visions d'un jeu très différentes. L'avis du Maître de Guerre Dragon-Cochon Grouik : Déjà 30 ans de jeu derôleavec Dungeons et Dragons! De la version basique à la version avancée, de la version 1 à la version 3. (...)Bien des années ont passé depuis mes débuts. Tout au long de ma vie, j'ai assisté à des évènements et accompli des choses que peu d'hommes du commun ne pourraient qu'imaginer. J'ai gagné gloire et richesses, mais le tribut qu'il me fallut payer pour cela fut très lourd : mes illusions, et mon innocence. Pourtant, pour toutes les vies que j'ai sauvées, à aucun moment je ne souhaiterais revenir en arrière et changer le passé. Mon histoire a commencé par le sauvetage d'une jeune paysanne, que le seigneur ...