Les Amérindiens
Us et coutumes: -Le Jeu de la Grande Main (Ishtaboli)- Il est joué par deux équipes de dix joueurs ou plus disposant chacun d'une petite raquette de cuir détendue, à long manche: ' La Grande Main ' (souvent fixé à l'avant-bras), avec laquelle ils doivent attraper, porter et se passer une balle de bois de vingt centimètres de diamètre. La finalité du jeu étant de faire entrer cette balle dans les buts de l'adversaire. A l'origine, les compétitions opposaient des familles qui désiraient prouver ...Contient : vie (11)(...) ils sont très rapides et leurs sabots sont plus durs que ceux de leurs homologues terrestres. Le cheval transforma laviedes agriculteurs et des chasseurs dont il décupla la force de travail, la puissance, la mobilité, le potentiel cynégétique et guerrier. (...)
Montures et cavaliers doivent être particulièrement agile lors de la chasse aux bisons ou d'affrontements intertribaux. Les raids lancés pour voler des chevaux à l'ennemi devinrent un événement coutumier de laviedans les plaines. Le jeune garçon apprends très tôt la technique équestre qui lui sera indispensable saviedurant. Il doit savoir se laisser glisser le long du flanc d'un cheval au galop car, dans la bataille, le corps de sa monture sera son plus sûr bouclier. (...)
Certains chefs de guerre en possède plus d'un millier, et une bande d'Irennussoïks de 200 membres peut en posséder jusqu'à 1500. Ce sont eux qui, en adaptant le wigwam à leur nouveau mode devie, créèrent ce que les populations d'Amérindia allait appeler le tipi. Fait de perches et de peaux de bison, il est facile à monter, à démonter, à transformer en travois et à atteler à un cheval. (...)
) Les êtres vivants sont les hôtes de la Terre, et les hommes sont enracinés dans cette Terre régénératrice qui leur donneviecomme elle donnevieà la plante. Enfin, l'humain n'est pas considéré comme plus important que l'animal, le végétal ou le minéral. Tous les éléments de la création se partagent la terre à égalité, et chacun est responsable des autres. (...)
-La Création Dans tous ces récits, les êtres surnaturels apparaissent sous la forme d'hommes, de femmes ou d'animaux, et dans des décors semblables au cadre deviede la tribu concernée. Les événements décrits s'inspirent de laviequotidienne de ceux qui les décrivent: relations sexuelles, disputes, séparations, épreuves de force, longs et pénibles voyages, etc... (...)
La seconde subit le même sort que l'enveloppe charnelle périssable, ou du moins reste attaché au corps pendant un certains temps. Pour les Wingashutahs, la mort survient lorsque le souffle de laviequi est entré à la naissance, se retire. Les morts sont craints car ils laissent derrière eux leurs défauts sous la forme d'un fantôme qui peut nuire au vivants. (...)
Il prie alors ' Wakoda ', le Grand Mystère, et ne doit avoir à l'esprit que des idées de bonne santé, d'exploits guerriers, de chasses fructueuses et de longuevie, mais il lui est interdit de solliciter une faveur personnelle. A son retour au village, le jeune garçon se repose pendant quatre jours avant de demander conseil à un ancien qui a fait le même genre de rêve ou reçu le même genre de vision que lui. (...)
NOTE : Il ne s'agit pas là d'un descriptif exaustif des moeurs Amérindiennes réelles mais plutôt d'une fiction qui utilise certains aspects du mode devieindien tel qu'il fut par le passé. J'espère avoir su éviter les caricatures et capter l'essence de cette culture particulière (ce qui est déjà fort présomptueux de la part d'un non-indien...). (...)