La Dernière Croisade de Mordheim
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Contient : cité (24)(...) Ils mènent une vie misérable, tués par le feu et par l'épée, écrasés par le poids des impôts et dépouillés par les marchands obèses qui profitent de l'anarchie pour s'enrichir d'avantage. C'est dans lacitéde Mordheim dans la province d'Ostermark, le premier jour de l'année mille neuf cent quatre-vingt dix-neuf de l'ère de Sigmar que la Prophétesse des Soeurs de Sigmar a observé le signe tant attendu pour la première fois dans le ciel nocturne, ainsi que le prédisait le prophète Macadamnus de Greill plus de cinq-cents ans plus tôt en écrivant : Dans lacitéde ses soeurs il nous reviendra sur des ailes de feu. Sur son trône il régnera pour l'éternité, épargné par la corruption de la chair Ceux qui s'y rassembleront pour l'attendre ne connaîtront pas la mort. (...)
Et les seigneurs du nord dirigeront ensemble les nations du monde. Les Versets de Macadammus - Verset CXXVI. LaCitéMordheim : Il était devenu clair que lacitémentionnée n'était autre que Mordheim. Elle abritait le Saint Ordre des Soeurs de Sigmar, les 'soeurs' de la prophétie, tout en étant située à l'extrême nord de l'Empire. Quant aux 'ailes de feu', tout le monde pouvait les voir. (...)
Sous la prodigieuse sphère, le peuple de Mordheim sembla oublier toute retenue et se laissa aller à une fête aussi gargantuesque que dépravée. Qui sait combien d'âmes s'étaient entassées dans lacité? Des centaines de milliers étaient venues de tout l'Empire, si bien que la moindre ruelle du moindre quartier résonnait sans discontinuer de joyeuses musiques . Hors des murs de lacité, les nouveaux arrivants se bousculaient et dansaient. Nul ne cherchait à se reposer ou à s'abriter lors de ces journées sans nuit : tous dansaient, chantaient , buvaient , et s'abandonnaient , à des plaisirs indécents. (...)
Bernhardt Hal - Répurgateur Général. Le jugement divin de Sigmar : Ce ne fut pas Sigmar mais son jugement qui tomba sur lacitéde Mordheim au premier instant du premier jour de la nouvelle ère. Tandis que la cavalcade de perversion culminai, Le Marteau de Sigmar s'abattit en mettant fi à la vie de chaque homme , femme et enfant dans lacité. Dans une explosion dix-mille fois plus forte que le tonnerre, le sol sembla se soulever pour aller à la rencontre du feu, abattant les bâtiments, brisant les murs et soufflant les arbres. (...)
Au delà des frontières de l'Empire, des forteresses naines , qui tenaient depuis des siècles, se fissurèrent et s'écroulèrent. Mordheim n'était plus que ruines carbonisées. Pourtant parmi la foule massée à l'extérieur de lacité, car cette dernière était si bondée que tous n'avaient pu y entrer, quelques rares individus survécurent. (...)
Les Chroniques d'Ostermark -entrée pour l'an 2000. La Destinée de Mordheim : Des vapeurs tourbillonnantes obscurcirent lacitépendant plusieurs jours après sa destruction. Elles émanaient d'une étrange lueur verte si brûlante que nul ne pouvait l'approcher, mais finirent par se dissiper tandis que refroidissait les ruines. (...)
Leur paupières sont lourdes, très lourdes... Présentation de Mordheim avant le temps des troubles : D'après les voyages de Johann Munz : La première chose que je vis fut l'antique et imposant rempart de Mordheim, avec ses soixante-dix-sept tours visibles à des lieues à la ronde. Mille années durant, lacitéde Mordheim s'est dressée sur les berges du fleuve Stir. Mes livres indiquent qu'elle fut fondée par les Chevaliers de l'Ordre du Corbeau, qui avaient pris le territoire aux Gobelins et colonisé les prairies de l'Ostermark. (...)
Là ils bâtirent leur forteresse et la baptisèrent Mordheim, en mémoire de l'héroïque Comte Gotthard Angelos qui sacrifia sa vie pour repousser les Gobelins des forêts environnantes. Depuis l'antiquité, lacité, dirigée par la famille von Steinhardt, est la capitale de l'Ostermark. Les champs et les pâtures des paysans et du comte lui-même entourent Mordheim, ainsi que plusieurs petits villages. (...)
Une grande quantité de fret est chargé depuis les docks de Mordheim sur les barges pour partir vers Nuln, Altdorf et au-delà : bois récolté dans la forêt, gemmes et minerai extraits des mines de la montagne, bijoux, armes et armures forgées par les nains de Karak Kadrin... tout cela et le reste fait de Mordheim unecitéplus que prospère. Mais lacitéest davantage qu'un centre de commerce dans l'est de l'Empire, car elle est aussi très imprégnée de tradition et de culte. On y trouve des temples dédiés à Sigmar, à Ulric, à Morr et à bien d'autres déités, mais le Temple du Roc de Sigmar, demeure des Soeurs de Sigmar, est le plus célèbre d'entre tous. (...)
Il se dresse en haut d'une grande falaise au centre du fleuve Stir, et sa coupole d'or scintillant est considérée comme l'une des merveilles du monde. Dans toute lacité, on peut admirer des monuments et des centres de commerce et d'éducation, la Grande Bibliothèque de Mordheim attire notamment les plus grands esprits de l'est de l'Empire pour étudier aux pieds des éclairés prêtres de Sigmar. (...)
C'est Sigmar lui-même qui fit don de la province d'Ostermark aux ancêtres de la maison du comte Steinhardt et c'est pourquoi lacitéjouie d'une longue tradition guerrière. Mordheim fut une des rares villes à résister aux hordes du terrible Gorbad Griff 'de Fer en l'an 1707. (...)
Les bâtiments des commerçants du textile, du bois de construction se situaient un peu à l'écart. Les eaux claires du fleuve grouillaient de poissons et la pêche fut un grand atout pour lacité, son marché étant très développé. Le commerce, de plus en plus important, fut considérablement développé par les accords commerciaux de libre échange avec les artisans nains des forteresses environnantes. (...)
Depuis que les hordes de Peaux vertes avaient été repoussées, beaucoup de nains avaient émigré vers Mordheim qui se dota ainsi d'excellents artisans, forgerons, orfèvres et maçons. L'architecture de Mordheim fut largement influencée par la présence des nains dans lacitécomme le montre la robustesse et la qualité des bâtiments, ainsi que la présence de pièces métalliques finement ouvragées. (...)
De ce jour, il ne reste plus que des ruines carbonisées et hantées de la ville qui est maintenant nommée Mordheim, lacitédes damnés. Ce ne fut pas Sigmar mais son jugement qui tomba sur lacitéde Mordheim au premier instant du premier jour de la nouvelle ère. Tandis que la cavalcade de perversion culminait, le Marteau de Sigmar s'abattit en mettant fin à la vie de chaque homme, femme et enfant dans lacité. Dans une explosion dix mille fois plus forte que le tonnerre, le sol sembla se soulever à la rencontre du feu, abattant les bâtiments, brisant les murs et soufflant les arbres. (...)
Audelà des frontières de l'Empire, des forteresses souterraines naines, qui tenaient depuis des générations, se fissurèrent et s'écroulèrent. Mordheim n'était plus que ruines carbonisées. Pourtant, parmi la foule massée à l'extérieur de lacité, car cette dernière était si bondée que tous n'avaient pas pu y entrer, quelques rares individus survécurent. (...)
Un nuage de fumée noire recouvrit les Ruines sept jours et sept nuits durant, et Une grande fournaise brûla comme un Charbon ardent sorti des enfers. Les Chroniques d'Ostermark - entrée pour l'an 2000. Des vapeurs tourbillonnantes obscurcirent lacitépendant plusieurs jours après sa destruction. Elles émanaient d'une étrange lueur verte si brûlante que nul ne pouvait l'approcher, mais finirent par se dissiper tandis que refroidissaient les ruines. (...)
Mais ce qu'il va se passer est une vision d'apocalypse, ils vont voir des torrents de flammes envahir lacité, des bâtiments s'effondrer, une foule hurlée. Puis lorsque les éléments se calmeront, un brouillard nauséabond commencera son oeuvre provenant d'un énorme cratère où rougeoie encore une immense sphère d'un métal noirâtre. (...)Préambule : Mordheim par une soirée nuageuse, les bruits d'hurlements, de combats se succèdent à travers toute la ville... Une nuit parmi tant d'autres... dans la ville des Damnés. Qu'il est loin l'époque où la ville n'était que joie, bonheur et prospérité. Depuis plus d'un millier d'années, elle n'est que ruine, désolation et malheur. Il faudrait être fou ou pire courageux pour oser s'y aventurer ... Et quelle serait la probabilité de faire se rencontrer plusieurs héros en un seul ...