Ecologie des Gobelins
sur Le Scriptorium au format (1.3 Mo)
Contient : villages (3)(...) Dans certaines contrées, leurs raids sont purement sadiques et aléatoires, ne prenant même pas la peine de piller lesvillagesravagés. De plus, les gobelins se sont montrés capables de s'allier avec toutes sortes d'autres races maléfiques, comme les hobgobelins bien entendu, mais aussi les troglodytes ou même les orques. (...)
C'est pourquoi l'actuel guide spirituel du clan, Shererkh (gobelin forestin, druide 3), n'a pas de grandes difficultés à convaincre son chef, le cruel Hanûrk (gobelin forestin, barbare 4), d'éviter les alentours desvillagesdes autres races humanoïdes. Passant à bonne distance de toute agglomération, même petite, ils préfèrent rester à proximité des bois suffocants, longeant le fleuve Zarash. (...)
De tribu totalement nomade, les Véreux sont devenus semi-nomades, demeurant dans les bois une grande partie 1 de l'année pour ne gagner les plaines ou les montagnes qu'en hiver, lorsque lesvillagesse referment sur eux-mêmes et que la campagne est plus sûre. C'est pendant cette période qu'ils attaquent les voyageurs et explorateurs isolés, profitant de leur engourdissement. (...)Les gobelins sont parmi les créatures les plus emblématiques de Donjons et Dragons après les dragons eux-mêmes. Petits, vicieux, intrinsèquement mauvais, ils sont la piétaille servant à l'entraînement des aventuriers débutants, avant qu'ils ne s'orientent vers de plus glorieux horizons. Figure incontournable du monstre ringard, ils sont répandus dans tous les univers et dans de nombreux jeux au-delà de D&D. Leur invariable faiblesse et leur stupidité congénitales sont généralement compensées ...