Un nouveau printemps pour la Rose
sur Eric Christ au format (689 Ko)
Contient : feu (7)(...) Il s'agit d'une espèce de chaudron allongé d'où surgit une boule de flamme. La composition de cette arme (l'équivalent dufeugrégeois) est indiquée en haut mélnibonéen ancien (cette arme a le pouvoir de s'embraser, même sans la présence de l'élément dufeuet ce savoir, aujourd'hui perdu, intéresserait bien des puissances). Un étendard flotte sue le mat du navire, il représente une rose épanouie. (...)
Le tenancier (une connaissance des personnages) est agenouillé au sol, un homme en armure noire le tient par le col et semble le soumettre à un interrogatoire forcé, pendant ce temps quatre autres hommes armurés de la même manière paraissent tout renverser dans les lieux et attiser lefeu. Seules quelques bribes de phrases parviennent aux aventuriers dans les craquements sinistres provoqués par l'incendie qui redouble de violence et rend très difficile l'accès aux lieux. (...)
Parmi les cendres on peut trouver, outre le corps calciné du tenancier, des indices qui montrent qu'une fouille systématique des lieux a été opérée avant que les pantangiens ne mettent lefeuaux rideaux. Apparemment ils cherchaient quelques chose de précis. Tout ce qui ne brûle pas est encore sur place : argent, objet divers non inflammables, même les objets de valeur n'ont pas été touchés (et notamment ceux qui ont servi de troc avec les soldats de retour de la Cité de la Côte Jaune). (...)
Le tapis est quasiment intransportable, il est plus prudent (toujours pour ne pas attiser les convoitises des guildes locales) de faire venir le spécialiste des antiquités sur place. Celui-ci, bien sûr n'y verra que dufeu(voir plus loin), mais estimera quand même la tapis à sa valeur : environ dix mille pièces de bronze, chiffre effrayant (et qui doit être ressenti comme tel). (...)
Pendant ces événements, les pantangiens vont continuer à faire leur enquête dans les ruelles de Chalal (voir plus loin), commerce après commerce, taverne après taverne, ils mettent, chaque nuit àfeuet à sang la ruelle où sont installés les personnages. La tension monte, ils doivent à tout prix s'écarter du coin sous peine de servir de cible très rapidement. (...)
Toute tentative de destruction se révèle complètement impossible (la tapisserie semble vouloir survivre à toutes les agressions, y comprit a celle dufeu. Peut-être un ancien pigment !), il semble logique qu'ils se dirigent d'eux-mêmes vers la possibilité de déposer sur Imtanarka le fardeau qui commence à peser lourdement sur leurs existences, la rendant d'autant plus précaire. (...)Ce scénario a été initialement conçu pour des personnages et des joueurs très expérimentés. Une très bonne connaissance des enjeux sur les Jeunes Royaumes, lors de l'arrivée d'Elric de Mélnibonnée sur le Trône de Rubis, semble essentielle. De plus, quelques repères précis sur les Puissances qui gouvernent le destin des hommes et sur Celle qui Puise Sa Force dans le libre arbitre Humain seraient utiles. Pour toutes ces raisons, il paraît essentiel qu'au moins un maître de magie soit présent dans le ...