En Pièces Détachées
sur Les Terres de Kernos au format (153 Ko)
Les PJs sont invités à enquêter sur d'étranges disparitions et d'horribles mutilations. De par leurs recherches, ils se frottent à une puissante organisation aux buts peu avouables. Ceux-ci sont à la solde pour le moment d'un puissant mage, Frankenstern qui tente de concevoir et animer un golem de chair pour faire régner la terreur et accomplir les pires méfaits. Amorce : Contactés par les autorités locales au sein d'une ville portuaire où la popularité et ...Contient : sang (6)(...) Ce n'est pas l'oeuvre d'un carnivore ou charognard qui aurait tout déchiqueté. On l es a ensuite laissés se vider de leursangdans d'horribles souffrances. Il ressort certaines similitudes entre les victimes : tous sont des hommes de même âge et de même corpulence. (...)
Ce n'est pas un gars du quartier. Il a dû être transporté. Le cadavre est exsangue sans aucune trace desangalors qu'il aurait dû y avoir une mare desangautour de lui. Ses habits sont trop ' bourgeois ' pour être d'ici à moins que ce ne soit un gentilhomme venu profiter de plaisirs coquins qu'offrent certaines auberges la nuit. Mais si les PJs enquêtent sur cet habit, un tel accoutrement n'a jamais été vu nulle part. (...)
Mais très vite, ils remarquent l'énorme mare sanguinolente qui stagne au fond et distinguent un cadavre lui aussi vidé de sonsang: cette fois-ci, c'est un de leurs camarades ! Mort, on lui a sectionné le bras gauche pour l e laisser mourir bâillonné, tordu de douleur. (...)
Véritable piège des rivages, les sables mouvants sont la hantise de tout passant. Leur puissante force d'aspiration ne peut être déjouée que par la promptitude de la réaction, lesang-froid de la victime et l'aide de ses amis. Il faut lancer un Jet de Sauvegarde contre la Paralysie. (...)
A lui, ses agresseurs lui ont pris sa jambe gauche, le laissant estropié, à se traîner sur le sol à l'agonie comme en témoigne la traînée desangqui s'arrête là où son souffle de vie s'est éteint ... Des traces de boue vaseuse recouvrent ses loques. (...)