Procès de Theora Hetirck - Histoire de la Tradition
Euthanatos d'après le Tradition Booksur Euthanatos
[Note JdRP: Ce récit est découpé en plusieurs parties regroupées dans cette aide de jeu. Suivez les liens pour lire ce récit en entier.] Introduction : Rien de tel qu'un Tradition Book pour raconter l'histoire, les tenants et aboutissants d'une Tradition. L'histoire contée dans celui des Euthanatos est doublement passionnante. En plus de nous raconter les origines de la Tradition la plus contreversée du Conseil, elle offre une excellente transition entre la deuxième et la troisième édition. ...Contient : guerre (19)(...) ' Raging Eagle se leva, levant une main afin de demander le silence à l'Euthanatos. 'Ceci est un procès de crimes deguerre, Miss Zimmermann - un procès de crimes deguerretenu tandis que la bataille fait toujours rage.' Le Frère Akashite fit une pause, baissant les yeux sur elle, puis tournant son attention aux Primii assemblés : 'Nous ne pouvons perdre de temps à réordonner ces charges. (...)
'Le peuple et sa nouvelle religion vivèrent dans les villes, et quelques Rshis les rejoignirent, les premières graines du Choeur Céleste en Inde. Les Aryens firent de la politique et laguerreà chacun et aux terres les entourant, firent des mariages locaux pour mettre un terme aux guerres et unir des petits royaumes. (...)
'Smoke Tiger a été convoqué par les aînés de la ville afin de défendre son action, bien sûr. S'il avait été un homme humble, il aurait plaidé que le meurtre était accidentel, et laguerreaurait pu commencer plus tard, ou pas du tout. Au lieu de cela, il défendit le meurtre comme un acte de droit afin de punir le garçon corrompu et dangereux. (...)
' 'Les guérisseurs et sages parmi nous furent massacrés. Chaque dernier Dacoit mouru. Ce massacre débuta uneguerrequi dura 300 ans. Comme notre ami Raging Eagle le montre, les conséquences de cetteguerreguette toujours sous la surface, 2200 ans après.' 'Pourquoi ?' le souffle de Julia se gela, ou le sembla, malgré le fait qu'elle ne vivrait pas trois millénaires. (...)
Il est difficile, lorsque vous mourrez dans les mains d'un ennemi sans merci, d'être gracieux avec lui dans une autre vie. Trop de nos éthiques tombèrent à cause de laguerre.' 'Dans la 93ème année, les Indran se perdirent eux-mêmes, devenant corrompu à la racine, et plus tard des Naraki de fait. (...)
' 'Dans la 165ème année des guerres, en Afghanistan, très proche en fait des ruines du peuple Sarasvati, les Handura (de silencieux diseurs de bonne aventure avant laguerre, de terribles forgerons et hommes d'armes maintenant) prirent en ambuscade une caravane de Frères Akashites, de consorts, de marchands Chinois et Tibètains, leurs servants et esclaves. (...)
Les civils, acolytes et jeunes mages battirent en retraite et s'envolèrent plus loin à l'ouest.' 'C'était tard dans laguerre, et les morts des générations précédentes étaient réincarnés aussi rapidement que possible, pleins du désir de revanche. (...)
Au-delà, un large atroupement de tentes et de cabanes s'étendaient sur le sol gelé. 'Dans la 235ème année de laguerre, une nouvelle voix vint de nos forteresses du Bengale : Vedavati. Elle avait été la femme d'un Brahmin, s'Eveillant pour la première fois en attendant son lit de mort. (...)
' 'Pendant des siècles, nous pensions que les Eveillés dans les royaumes du nord du Gange avaient été pacifiés par les Frères Akashites et leurs forces. Dans les dernières années de rage de laguerre, nous découvrîment que ce n'était pas le cas. Une résistance cachée s'unit sous la bannière de Kali. (...)
Les danseurs Vedavati firent un recensement approximatif, persuadèrent les Fondations riches d'aider à la reconstruction des victimes de laguerre, et invitèrent les Marabouts à communiquer souvent. Nous commençâmes à chercher des mages semblables à nous dans les villages, et trouvâmes içi quelques-uns des premiers Verbena. (...)
Buddha est un peu comme le Christ,' dit Julia. Le Primus se crispa. 'Votre Christ était un petit peu comme le Buddha.' 'Le Buddha voyait laguerreet disait 'désirs', voyait la souffrance et disait 'attachements', voyait la mort et la maladie ravageant le pays et disait 'vous pouvez y échapper. (...)
L'Islam n'est pas plus oublieuse de l'Art que la Chrétienté ou le Judaïsme, et lorsque le contrevenant est aussi un assassin...' Takstang éloigna largement ses mains. 'Une autreguerrecommeça presque. La Consanguinité vit tous les Musulmans comme des démons pendant une génération. (...)
Les forces de la stagnation figèrent le Goulet entre les mondes de l'ombre et le notre. En Europe, laGuerred'Ascension dévora ses premières victimes.' 'En 1447, alors qu'il visitait la maison de la Fondation de Deme à Coronée, en Grèce, Chalech reçu un visiteur, Teirisias Penthilus. (...)
Je crois qu'ils ont tord. Derrière le nuage de poussière et de fumée, j'entends le rire des Naraki.' 'La premièreGuerreMondiale mit les mitraillettes, le gaz moutarde et les grenades dans les mains des hommes. Ces soldats et leurs leaders refusèrent de comprendre que leurs nouveaux jouets signifiaient la mort en d'incroyables proportions. (...)
Les Celtes et Grecs se rappellèrent de plus grandes tempêtes, mais rien de comparable aux vents fantomatiques qui hurlaient dans l'éveil de la premièreGuerreMondiale.' Le temps se rida et changea encore sous les pieds de Julia. 'Comme des âmes sans repos trouvaient un abri dans nos Marabouts, nous apprîmes d'eux ce que nous pouvions. (...)
Nous combatîmes cote à cote avec les Ahl-i-Batin. Puis, nous découvrîmes les Naraki dansant dans le sang, tirant sur les robes des deux cotés de laguerreet menant les hommes haineux à des horreurs de plus en plus grandes. Encore plus tard, nous amorçâmes un grand rituel dans un château Allemand, un rituel qui achemina les énergies d'un millier d'âmes fâchées dans un feu spirituel qui renvoya les maîtres Nephandi. (...)
Nous ne voulions tout simplement pas que les autres le sachent avant que nous n'ayons réglé la question'. Troisième jour :GuerreInterne. Le dernier des plus petits témoins, appellé à la suggestion de la défense, arriva. Une mince femme noire dans ses quarantes dernières années, elle portait un complet gis sombre, une écharpe lumineuse et un fedora gris avec une bande de motif du complet. (...)