Du matos pour Warsaw dans les Carnets n°7
Contient : scénario (13)Du matos pour Warsaw dans les Carnets n°7 Bon, puisqu'on est dans notre semaine Warsaw (voir article précédent), on va rappeler l'existence dans le n°7 des Carnets de l'Assemblée de matériel de notre plume pour le jeu de rôles consacré aux affres intemporels de la guerre totale. Il s'agit d'unscénario, 'Pour qui sonne le glas ?' (c'est une règle d'or : tous les bons jeux de rôles possèdent unscénarios'intitulant ainsi ), et d'une aide de jeu décrivant une nouvelle faction, la faction Nekropola (thème de 'la mort' oblige). Les deux éléments s'imbriquent bien évidemment : lescénariomettant, en effet, en scène la faction susdite. Dans cescénarioà la conclusion très ouverte, j'ai voulu tout particulièrement mettre en scène les problèmes posés par l'isolement en réseaux distincts des résistants au sein de la ville en ruine : comment se contacter ? comment passer des alliances ? (...)
doit-on craindre les agents provocateurs et les taupes (sans doute un hommage prémonitoire à l'équipe de France ? J'en profite pour préciser à l'intention d'un éventuel MJ que lescénarioest, de ce fait, plutôt dangereux pour des joueurs un peu en goguette qui penseraient surtout à bouffer des curlys avec du café froid en faisant des blagues d'un goût douteux sur le NeuReich. Lescénariodemande en effet prudence, concentration et esprit d'initiative. Dans ce contexte, le MJ pourra l'utiliser à des fins pédagogiques pour mettre en garde les PJs plutôt que comme punition sévère. (...)
« L'ennemi » entreprend, plutôt que de la détruire purement et simplement, de contrôler la faction trahie dans le but de faire tomber un à un ses alliés dans leur piège. Les PJs y échapperont-ils ?. Introduction. Lescénarioqui suit est plutôt dangereux pour ses différents protagonistes. Pour les PJs, mieux vaut qu'ils soient relativement expérimentés et que les joueurs connaissent déjà l'univers de Warsaw afin d'agir avec toute la prudence nécessaire. Dans cescénario, l'ambiance est beaucoup plus proche de L'armée des ombres que d'un film de guerre traditionnel, par exemple. Pour les PNJs, le déroulement duscénarioimplique forcément leur destruction en tant que faction. Ainsi, la faction présentée en annexe ne survivra pas à cette épisode. (...)
Moyennant quelques changements dans l'intrigue, cela reste possible. De plus, pour bien fonctionner, lescénarionécessite que les PJs soient déjà constitués en une solide faction qui ait eu le temps de se distinguer en posant des problèmes à l'un ou l'autre des belligérants. Afin de laisser un peu de latitude au MJ, l'intrigue du présentscénarione mettra pas en scène le Komingrad ou le NeuReich mais « l'ennemi » qui pourra indifféremment être l'un ou l'autre en fonction des antécédents des PJs et de la faction. (...)
Dans ce but, il pourrait être intéressant de faire jouer la scène 1 (celle de la première rencontre entre Nekropola et les PJs) de façon séparée du reste duscénario, par exemple en intercalant un ou plusieurs autres scénarios avant de faire jouer la scène2. (...)
Afin de permettre, conformément à ce qui a été dit dans l'introduction, de placer cette 1ère scène dans la continuité logique de la campagne jouée par les PJs, certains détails seront laissés dans le flou, à charge pour le MJ de les adapter à ce qui convient à sa campagne. Dans un quelconquescénario(éventuellement présenté comme une petite improvisation ou créé pour l'occasion par le MJ), les PJs se retrouvent dans la situation (classique) de devoir trouver des informations précises sur un lieu, habitant ou événement de Warsaw. (...)Bon, puisqu'on est dans notre semaine Warsaw (voir article précédent), on va rappeler l'existence dans le n°7 des Carnets de l'Assemblée de matériel de notre plume pour le jeu de rôles consacré aux affres intemporels de la guerre totale. Il s'agit d'un scénario, 'Pour qui sonne le glas ?' (c'est une règle d'or : tous les bons jeux de rôles possèdent un scénario s'intitulant ainsi ), et d'une aide de jeu décrivant une nouvelle faction, la faction Nekropola (thème de 'la mort' oblige). Les deux ...