Kislev et ses habitants
Contient : autorité (11)(...) Des trappeurs et des aventuriers voyagent énormément le long des cours d'eau, remontant parfois jusqu'aux sources du Talabec. La culture impériale et l'autoritésont représentées par des missions de Taal et de Rhya le long des cours principaux, souvent sur des sites précédemment elfes et nains. (...)
Toutefois, les pays concernés (connus sous les noms de 'Zaborota' et 'Les Lointains') ne sont soumis qu'à uneautoritéténue de la part des 'Boyar' (barons) et ce n'est qu'au plus fort de l'été que les passes dans la montagne sont praticables. (...)
Les Cités-Souveraines, y compris Kislev, sont des royaumes de plein droit mais, dans les faits, elles ne sont rien d'autre que des provinces dirigées par des monarques sous la plus totaleautoritédu Tsar Radii Bokha de Kislev, Seigneur du Nord. RESSOURCES : Les montagnes sont censées être riches en ressources minières, mais leur exploitation est restée jusqu'à présent irréalisable. (...)
Traditionnellement, ils répondent à l'oppression par la résistance passive ou la fuite. Connus pour leur paresse et leur malhonnêteté, ils répondent à toute forme d'autoritépar de la méfiance et du cynisme que masque une coopération rétive. La ruse et la fourberie sont des armes très prisées, quel que soit le problème affronté. (...)
Chaque clan était organisé autour de ses chefs et des anciens et leur religion shamaniste n'avait pas d'autoritécentrale. Ce n'est qu'en temps de guerre qu'un chef puissant arrivait à unir un groupe de clans, et de façon peu efficace, comme en témoignent les vagues successives de gospodars chassés des steppes vers les forêts et dans les zones inadaptées à leur culture nomade et liées à l'élevage. (...)
Les ungols avaient une identité culturelle plus cohérente, mais basée sur les concepts de leur chef de guerre, le Khan. Le Khan avait uneautoritéabsolue sur tous les clans ungols et il les maintenait avec une poigne de fer et beaucoup d'imagination. (...)
Lorsque les hordes ungoles cessèrent de se déplacer, de piller et de faire la guerre, les chefs de guerre perdirent leurautorité. Les guerriers ungols se fondirent dans la masse de leurs sujets gospodars et disparurent. La culture nordique ne reste présente que dans le nord, le long du Lynsk et particulièrement à Erengrad, où l'aristocratie Nordique gardait des liens étroits avec ses parents Norscan. (...)
A l'heure actuelle, le Tsar et le Clergé se soutiennent mutuellement et forment le centre politique et l'autoritéecclésiastique du Kislev métropolitain. Pour tous les peuples nomades gospodars, le Tsar est l'incarnation nationale du modèle patriarcal de l'autoritéfamiliale. Tel un patriarche, le Tsar est perçu comme l'autoritéabsolue (en fait le propriétaire) de sa terre et de sa famille, qui sont les terres et la population kislevites. Le paysan kislevite, normalement cynique, considère le Tsar d'une façon romantique, comme un protecteur sage, courageux et modéré, et tend à attribuer toutes ses misères quotidiennes à la bureaucratie corrompue et à l'aristocratie arrogante, plutôt qu'à toute erreur du Tsar. (...)
Bolgasgrad [QCPK p74 et suivantes; carte p83] : C'est une ville à l'intersection du Lynsk nord et sud. En 2512, Bolgasgrad s'est soustraite à l'autoritédu tsar car elle se considère comme abandonnée face à la menace du Chaos. Un prêtre renégat du Chaos (adorateur de Necoho) leur a offert la protection d'une armée de morts-vivants. (...)Outre les histoires de religions (Ursun, Dash et Tor) -reprises par WFRP2-, ce qui suit n'est pas radicalement incompatible avec le livre d'armée Kislev de 2003 (WFB6). Gavin Thrope n'a pas complètement ignoré Quelque Chose de Pourri à Kislev car on trouve des détails similaires. D'ailleurs, WFRP1 se passe en 2512 et le tsar Radii Bokha ne meurt qu'en 2517, moment où il est remplacé sa fille Katarina, la Reine de Glace. Pour ceux qui ne connaissent pas les kislévites, il est surprenant de penser ...