Chronique de Bloodlust
Contient : porteur (3)(...) Le morceau le plus important est la vision schizophrène de la vie d'un personnage. Chaque personnage est unporteur, enfin la plupart du temps. Il estporteurdune arme qui est la réincarnation d'un dieu. Cette arme est donc douée de vie et surtout d'intelligence. C'est le maître du jeu qui prendra son rôle la plupart du temps, même si l'auteur prévoit d'autre type de jeu, le plus amusant étant certainement deux joueurs, l'un pour leporteur, l'autre pour l'arme. Les petites histoires qui ouvrent chaque chapitre sont sympa et permettent au fur et à mesure de la lecture de bien comprendre l'univers dans lequel ont va évoluer. (...)Cela fait du bien de se replonger dans le passé. Ce jeu, sorti il y a quelques années, remets un coup de fouet avant de plonger dans un coup de blues. Les jeunes joueurs ne pourront pas comprendre mais je suis sûr que les anciens, enfin ceux qui ont apprécié, verront exactement de quoi je parle. Reprenons comme si c'était hier. Bloodlust présente un monde violent, brutal et sans pitié. La demi-mesure n'existe pas. La finesse non plus. La boite de base comprends trois livrets et un écran. Mis à part ...