Les voyages du Conscience Tranquille : Duale (1105)
sur Loukoum On Line
Maitz (1105) : Le saut vers Duale semble devoir se passer relativement bien. Comme prévu, les deux étudiants, Don Jaubert et Asther Nell, passent l'essentiel de leur temps enfermés dans leurs cabines respectives. Leur professeur, Glen Armstrong, qui a spontanément confié son gros pistolet à Al en montant à bord, est un passager cordial et peu exigeant, dont la bonne humeur constitue un changement agréable par rapport au pénible Belanshiir, et qui a d'innombrables anecdotes à raconter, soit ...Contient : changement (3)(...) Leur professeur, Glen Armstrong, qui a spontanément confié son gros pistolet à Al en montant à bord, est un passager cordial et peu exigeant, dont la bonne humeur constitue unchangementagréable par rapport au pénible Belanshiir, et qui a d'innombrables anecdotes à raconter, soit de ses quelques années passées dans le SIEI, soit de ses travaux universitaires de recherche 'sur le terrain'. (...)
Après y avoir mûrement réfléchi, les personnages décident d'appliquer ces modifications atmosphériques dans tout le vaisseau, y compris (mais sans les prévenir) dans les zones fréquentées par les trois universitaires, tout en les surveillant discrètement lors du passage progressif (en quelques heures) à une pression partielle en oxygène inférieure, afin de pouvoir détecter et traiter à temps une éventuelle attaque de mal des montagnes chez l'un d'eux (et de mettre l'incident sur le compte d'un problème avec le système d'air conditionné). Al surveille avec attention (et un peu d'appréhension) les passagers pendant que lechangementse fait, mais à part une pâleur passagère d'Asther Nell avant le repas, aucun effet n'est à signaler. (...)
Si tout se passe bien, le Conscience Tranquille peut espérer être prêt à repartir de Duale dans moins de 24 heures, s'il se contente d'un simplechangementde cargaisons. Il serait bien entendu envisageable de laisser les deux étudiants descendre sur Duale pendant ce temps, mais les personnages hésitent à les laisser circuler seuls. (...)