Le Culte De Tzeentch
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Contient : cité (18)Le Culte De Tzeentch «Le tonnerre gronda une fois encore, alors que la pluie et le vent fouettaient telles des furies la façade des bâtiments de la ?èrecitéde Nuln. Gerhardt marchait aussi vite que possible depuis plus d'une demi-heure sous ce maudit temps. (...)
N'oublie pas ce que je fais et projette de faire ! Je suis Le Grand Affranchi, fondateur de notre Fraternité ! Et bientôt cettecitéappartiendra à qui elle revient de droit, que tes maîtres le veuillent ou non ! Et ensuite viendra le tour de l'ensemble de ton Empire ! (...)
rmer aujourd'hui que le Grand Affranchi n'est autre qu'un certain Hermann Trämer, valet et scribe occasionnel de Herr Ferdinand Heisenhaeur, magistrat respecté de lacitéde Nuln. Voici son histoire telle qu'il me la conta lorsqu'il m'accorda son entière con?ance... Enfant, Trämer se tenait à l'écart des autres gamins des rues qui passaient leurs journées à commettre petits larcins et autres mauvais coups. (...)
Lui se sentait différent, il n'acceptait pas le lot de pauvreté Origines : La Fraternité des Affranchis est l'un des nombreux groupuscules secrets présents dans les frontières du Très Saint Empire de Sigmar. Basée uniquement dans lacitéde Nuln, cette jeune organisation fait preuve d'une incroyable discrétion. Dans qui était le sien, et avait pour ambition de s'en extraire d'une manière ou d'une autre. (...)
Il étudiait les dossiers du magistrat pendant la nuit, fouillait dans ses archives, et se surprenait à trouver des failles dans le système juridique de lacité, des erreurs dans certaines affaires. Il prenait des notes après chaque procès pour pouvoir ensuite recouper les informations qu'il avait glanées. (...)
Et progressivement, il vit ce que l'Ombre voulait lui montrer : les riches, les puissants, les Maîtres de lacitén'existaient que parce qu'il y avait des serviteurs pour les servir et faire valoir leur suprématie. (...)
Hermann avait tout cela bien en mémoire, et pourtant ce n'est pas la vengeance qui motivait ses pensées galopantes, mais la perspective du pouvoir que détiendrait celui qui saurait rassembler les connaissances de tous ces « sous êtres » de lacitéde Nuln. Ils étaient si nombreux : domestiques, serviteurs, hommes de main, apprentis, esclaves parfois ; et toutes ces petites gens vivaient dans l'ombre des grands en partageant leur vie, leurs secrets, leur inti-mité et leurs faiblesses. (...)
ous et incertains voir totalement dénués de sens pour un observateur extérieur. Mais si l'on analyse de plus près certains événements récents de lacitéde Nuln et qu'on les recoupe avec certaines informations, on peut alors établir un constat saisissant de la portée et de la capacité de sape de cette organisation. (...)
J'ai pu réunir, en effet, de nombreuses preuves indiquant que le Grand Affranchi a réussit à mettre en place par de subtils stratagèmes un réseau d'espions, de saboteurs, et même d'assassins dans toutes les sphères d'in?uences de lacitéde Nuln. J'en prends d'ailleurs ci-dessous pour exemple la récente affaire Ludwig Boermann qui a conduit à la disgrâce l'une des plus in?uente et prospère famille marchande de lacité. Je tiens à préciser que bien que n'importe quel citoyen de Nuln est convaincu de la véracité des éléments de cette affaire, celle-ci est en fait bien Page 61 encore, Ludwig Boermann nia tout en bloc, mais c'était sans compter l'opinion publique et l'intérêt que porta le répurgateur Karl Stalmeihn à cette affaire. (...)
A elle seule, cette découverte était bien sûr une preuve irréfutable de la corruption de la famille marchande. Ainsi, le soir même, les corps furent brûlés aux abords de lacité, tandis que Gernia Boermann était brûlée vive sur la place publique pour vénération des Sombres Divinités. (...)
erait qu'elle a supprimé cette dernière dans l'unique but de placer un de ses membres à la place et de disposer ainsi d'un contrôle sur une part des activités économiques de lacité. Si cette hypothèse s'avérait exacte, cette action aurait une justi?cation exclusivement pécuniaire, ce qui signi? (...)
Organisation : La Fraternité des Affranchi ne dispose que d'une seule et unique cellule basée à Nuln. Elle regroupe divers «métiers» issus des classes dites « inférieures » de lacité. Comme vu précédemment, le chef de la Fraternité est l'individu dénommée Grand Affranchi. Voici un récapitulatif de cette organisation. La Fraternité des Affranchis Magister de la cellule : Le Grand Affranchi Localisation :Citéde Nuln Cibles : Classes dirigeantes Credo : La Fraternité a énoncé un certain nombre de principes centrés autour de la notion d'entre aide. (...)
ltration. Grâce à cela, celle-ci a réussi à étendre son in?uence dans toutes les sphères d'in?uences de lacitéde Nuln en in?ltrant ses agents à des postes clés. Il faut garder également à l'esprit que, contrairement à certaines organisations subversives qui s'acharnent à placer leurs agents à des postes importants, la Fraternité vise uniquement les postes de servitude. (...)
Ce modus operandi est lié au fait que ses membres sont tous issus des couches sociales les plus basses de lacité. D'autre part, le fondement même de la Fraternité est axé sur la force et la discrétion des petites gens. (...)
La première manière de l'utiliser est d'amener vos joueurs à enquêter sur un événement récent survenu dans lacitédans le style de l'affaire Ludwig Boermann (cf. II. Objectifs). Cette approche conduira les joueurs à être confrontés à un ou plusieurs membres de la Fraternité voire même au Grand Affranchi en personne. (...)
Ce sont d'anciens serviteurs pour la plupart, qui se sont fait passés pour mort a?n de mieux se fondre dans lacité. Ils sont peu nombreux mais redoutables et totalement dévoués au Grand Affranchi. Leurs missions vont de l'assassinat pur et simple au sabotage d'un navire de fret en passant par le meurtre maquillé en suicide. (...)«Le tonnerre gronda une fois encore, alors que la pluie et le vent fouettaient telles des furies la façade des bâtiments de la ?ère cité de Nuln. Gerhardt marchait aussi vite que possible depuis plus d'une demi-heure sous ce maudit temps. Son rendez-vous ne pouvait attendre et les informations qu'il transportait encore moins. Alors qu'il se frayait un chemin parmi les badauds, il trouva en?n la venelle. Il devait y rejoindre un intermédiaire chargé d'apporter à son supérieur le compte-rendu détaillé ...