Les Iles de Fer
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Pendant des milliers d'années, des pillards originaires de ces îles (appelés hommes de fer par leurs victimes) semèrent la terreur sur les mers, du Nord jusqu'aux Iles d'Eté. Les hommes de fer sont très fiers de leur réputation de féroces combattants et de leurs conquêtes passées. Chaque île était gouvernée par deux rois : un Roi du Roc et un Roi du Sel (l'un gouvernant les opérations sur la terre et l'autre celles se produisant sur la mer). Le Roi des Iles fut choisi parmi les plus braves d'entre ...Contient : navires (5)(...) Le Roi des Iles fut choisi parmi les plus braves d'entre eux. Les Fer-nés utilisent des boutres, de longs et rapidesnavires, généralement peints de couleurs vives (comme le rouge, très utilisé). Les boutres sont souvent deux fois plus rapides qu'un navire marchand. (...)
Les femmes peuvent, elles aussi, être de grandes navigatrices. Certaines femmes ont aidé à la conception et la fabrication denavires. On dit d'elle que l'eau et le sel leur donnent des appétits d'hommes. Les Fers-nés ne ploient pas le genou facilement, mais ils respectent énormément les chefs méritants. (...)
Les terres des îles sont très peu fertiles. Les mines ne produisent qu'un acier basique et dénué de grande valeur. Lesnaviresmarchands du Port d'Ibben font commerce avec les Iles de Fer. Les Greyjoy : Les Greyjoy se nomment eux-mêmes Rois du Roc et du Sel, Fils du Vent de Mer et Lords Faucheurs de Pyk. (...)
Victarion, le Grand Amiral de la Flotte de Fer, frère de Lord Balon Greyjoy, navigua jusqu'à Port-Lannis pendant la révolte. Il y brûla tous lesnaviresavec son autre frère Euron. Victarion est un fort et vaillant guerrier, souvent chanté par les bardes, mais le plan est issu de l'imagination d'Euron. (...)
Finalement, le prêtre finit en décrétant : 'Ce qui est mort ne saurait mourir, mais resurgit plus rude et plus vigoureux'. Les prêtres bénissent également lesnavires, en proférant des invocations et en versant de l'eau de mer sur les proues. Lorsqu'un Fer-né se noie, on dit que le Dieu Noyé avait besoin d'un robuste rameur et on prononce alors ces mots : 'Ce qui est mort ne saurait plus mourir'. (...)