Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : navires (27)(...) Les mudjahids agissent presque toujours en escouade de 8 à 10 combattants, jamais plus. Le combattant embarqué : Les combattants embarqués sur lesnaviresde guerre forment un groupe de combattant particuliers. Ce sont souvent d'anciens rameurs esclaves qui ont été affranchis pour bonne conduite, ou des gens pauvres qui ne peuvent s'offrir l'équipement d'un fantassin ou d'un chamelier. (...)
Le port de la ville est relativement modeste, le fleuve n'étant pas assez profond pour accueillir lesnaviresde haute mer. Néanmoins les quais ont une capacité permettant d'amarrer une centaine denaviresfluviaux de petite taille qui amènent des marchandises en provenance du port maritime de Siwa ou en provenance des villes situées en amont. La vie religieuse est aussi intense : (outre la cinquantaine de temple de quartier),le grand temple de Zandri est un lieu de pèlerinage pour tous les fidèles d'Ormazd. (...)
La plupart des quais sont construits en pierre et leur capacité d'accueil est énorme (plusieurs centaines denavires). Le port se divise en 3 parties distinctes : Tout d'abord le port de guerre du Sultan (abritant une partie de sa flotte). (...)
Cette partie du port est entourée de hauts murs et gardée nuit et jour. La seconde partie du port, et la plus importante, est consacrée au commerce et accueille lesnaviresarabes. Enfin, la troisième partie est le Funduk (prononcez Foundouk) de Siwa : Il s'agit d'un quartier portuaire réservé aux étrangers. (...)
Les principales villes de l'Emirat de Kamt : Meknès : C'est seulement le quatrième plus grand port de l'Arabie mais il n'aurait rien à envier aux principaux ports bretonniens ou estaliens. Ces quais de pierre blanche peuvent accueillir de très nombreuxnaviresde fort tonnage et ses chantiers navals (les seconds d'Arabie après ceux de Al Haïkk) sont très réputés. La plupart desnaviresde guerres du Sultan sont sortis des chantiers navals de Meknès. La cité est la seule avec celle de Baskra à posséder plusieurs cales sèches assez grandes pour équiper et réparer les plus gros galions du moment. (...)
Les principales villes de l'Emirat de Copher Zuwarah : Capitale de l'Emirat, cette ville a une population de 21 000 habitants et est située sur le littoral, au font d'une large baie permettant l'accostage des grosnavires(ce qui est rare dans la région). La ville est dominée par le fort de Copher situé au centre de la ville. (...)
Une partie du littoral de la baie est réservé à la flotte de guerre de l'Emir (une petite flotte composée d'une dizaine de galères) et accueille parfois lesnaviresde l'armée du sultan. Le reste de la cité ressemble beaucoup aux autres villes d'Arabie : Ruelles étroites et ombragées, quartiers aux identités socioprofessionnelles très marquées, abondance de temples d'Ormazd, dont le principal est situé en face de la citadelle de Copher. (...)
Des denrées venant de toutes les régions du monde peuvent être achetées sur les marchés locaux (des épices venus de Lustrianie aux fourrures de Kislev). La vie d'Abu Hamed est rythmée par le trafic maritime : Lesnaviresy déchargent leurs denrées diverses et chargent les céréales produites dans la région, du minerais venu de Nejaz ou Tambukta, du bois de l'Alkaréham et différents tissus fabriqués dans les fabriques du califat. (...)
Sankara est une ville paisible et le principal soucis de la milice est d'éloigner les lions et autres prédateurs des zones de cultures. La plupart des denrées agricoles est expédiée par le fleuve, sur de longsnaviresà fond plat. Djebel Esna : Troisième ville du califat, la petite ville de Djebel Esna est située entre Abu Hamed et Sankara et abrite une population de 8 à 9000 habitants. (...)
Ces règles simples sont assorties de quelques conseils qu'il est préférable de suivre : Il vaut mieux s'attaquer à un navire du Vieux Monde qu'à un navire arabe. Il est préférable d'éviter de chasser lesnaviresbattant pavillon du Sultanat ou celui de Kufra (ce dernier conseil est souvent oublié). L'Emirat de Al-Haïkk est un petit territoire (57 600 km²) situé à l'extrême Nord Ouest du royaume. (...)
La cité est un labyrinthe de ruelles ombragées, encombrées d'étales divers. Le port est le coeur de Al-Haïkk. Plus d'une centaine denaviresde toutes tailles y font relâche pour décharger et vendre leur butin. Le second coeur de la ville est la Place du Marché aux Esclaves : C'est une vaste place dallée, d'une superficie de près d'un hectare, entourée par une enceinte étroitement gardée. (...)
Grâce à la présence de sources et à l'installation de systèmes d'irrigation performants, les alentours de la ville sont parsemés de vergers, d'oliveraies et de palmeraies. Mais les activités principales de la ville sont la construction denavires, l'achat de denrées agricoles (pour approvisionner sa puissante voisine Al-Haïkk) et le commerce des pierres précieuses : En effet, à une vingtaine de kilomètres de la ville, en plein désert de rocaille, deux gisements ont été découverts à quelques kilomètres l'un de l'autre. (...)
Les propriétaires des chantiers sont une dizaine de riches navigateurs ayant mis en commun leurs capitaux pour créer la plus puissante guilde de constructeurs denaviresqui ait jamais existé en Arabie. Les ingénieurs travaillant dans ces chantiers sont très réputés et ont acquis leur savoir faire à la Madrasa de Baskra (réputée pour l'enseignement des mathématiques et de la géométrie). (...)
Si celui-ci est accepté, l'accusé est rejugé quelques jours plus tard, s'il est rejeté, plus rien ne peut empêcher l'accusé de purger sa peine. Mahabbah dispose d'un port de grande capacité, divisé en 4 parties : le port réservé auxnaviresétrangers (devant le quartier du Funduk), le port de pêche (très restreint), les chantiers navals et le grand port de commerce où les navigateurs arabes chargent et déchargent des marchandises venues de toutes les régions du monde connu. (...)
L'île la plus au large (Dolor Dren) est un rocher presque désert : Seul un petit port de pêche y a été construit. Il a pour fonction de ravitailler en eau potable lesnaviresde la flotte de Ghafsa. Les principales villes du Califat de Ghafsa : Ghafsa : Capitale et principale ville du Califat, Ghafsa est un très grand port (le 3ème d'Arabie, derrière Siwa et Kufra pour le trafic de marchandises) et une ville énorme (plus de 60 000 habitants). Chaque jour, desnavireschargent des denrées produites dans le Califat (céréales, viande et poisson séché, artisanat divers. (...)
Il possède un Funduk réservé aux étrangers, ses quais faits de pierre et de bois peuvent accueillir de nombreuxnavires. Toutefois, à la différence des grands ports comme Kufra, Mahabbah ou Siwa, le port de Ghafsa accueille en général desnaviresde faible tonnage plutôt que les lourdes caraques destinées à la haute mer. Les galères marchandes, idéales pour le cabotage, y sont très nombreuses. (...)
Le souverain de ce royaume est l'Emir Mehmed Al Soukra, un vieil homme dont l'oeuvre principale aura été de doter son navire d'une flotte de 40 galéasses. Le but officiel de cette flotte était de protéger lesnaviresde pêches de la région mais il n'est pas rare que cesnaviresse livrent à la piraterie au large de l'Emirat.. L'Emirat du Sud se caractérise également par la grande piété de sa population. (...)
Située à l'extrémité du piton rocheux, ce bâtiment a plusieurs fonctions : Du fait de sa hauteur, le donjon fait office de phare pour lesnavires, les sous-sols de la forteresse abritent l'unique prison de l'Emirat et les hangars destinés à héberger les galériens de la flotte. (...)
La garnison de la ville (environ 100 gardes) est dirigée par Kemal Al Soukra, le fils de l'Emir. Le port de la ville est protégé des vents dominants, il abrite plus de 200naviresde pêche (des embarcations de petites taille, dotées d'une seule voile triangulaire). Une partie du port, sérieusement gardée, abrite la flotte de l'Emir, dont la valeur est inestimable si l'on considère la grande pauvreté de ce royaume. (...)
la ville actuelle de Debeqra est moins grandiose, bien que de dimensions respectables : les 17 000 habitants de la cité sont réfugiés derrière de hautes murailles de briques et de pierres. Un port abrite la flottille de guerre, quelquesnaviresde commerce et les barques des pêcheurs. Les rues de la ville sont très étroites et particulièrement sales, seules les places de marchés et le quartier riche sont nettoyés régulièrement. (...)
La ville de Marib a donc été construite autour de son port, en fond de crique. (les eaux peu profondes ne permettent l'accès qu'aux petitsnaviresà fond plat). Les deux tiers des habitants vivent de la pêche. La ville n'est pas entourée de remparts et la milice du Ka'id Miran (60 soldats) a bien peu de travail à faire. (...)
Cette cité de 6 000 habitants est entièrement sur pilotis, sur la bras sud du Fleuve Rouge (à près de 100 km de son estuaire) Cette ville entièrement en bois abrite le modeste palais du Calife Ma'ad Al Din, qui dirige la ville et l ‘ensemble du Califat. La vingtaine denaviresde guerres qu'il possède sert à défendre la ville. Sur les rives du bras sud du Fleuve Rouge, les voyageurs pourront apercevoir les ruines de nombreuses nécropoles en forme de pyramides à degrés . (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...