Songe d'une nuit d'automne
Cette aventure de création maison constitue la suite et la fin de la campagne de 'l'Eau des Conspirations'. Ce qui suit comprend l'introduction, l'aventure et l'épilogue. Introduction: un peuple du Continent. Les Saffranns : Les Chasseurs d'Automne : Note: Une version légèrement plus courte de ce texte est parue dans le premier supplément internet ('netbook') pour Guildes nommé 'Fragments de Cosme'. 'Mon nom est Loup Taciturne. Mes frères Saffranns m'ont désigné comme Chasseur ...Contient : tunnel (4)(...) En colère, il maudit alors mille fois le Dieu Doré, qui les avait menés à leur perte...jusqu'à ce qu'un jeune garçon n'attire leur attention sur untunneldissimulé dans l'ombre. Tous s'y engagèrent et ils marchèrent pendant ce qui sembla être des heures, les cris de dépits des étrangers s'étouffant dans la noirceur derrière eux. (...)
Furet Agile, un Manwa légendaire, aurait établi que la bellancolie était en fait une malédiction imposée à la tribu par le Dieu Doré: il était en colère en raison de la promptitude des Saffranns à le maudire avant de trouver et d'emprunter letunnelvers le Continent. Les Saffranns devaient donc apaiser le Dieu en lui offrant de l'eau (un geste traditionnel de paix), ce qui pourrait peut-être calmer son courroux. (...)
Le village était entouré d'êtres fantomatiques, de véritables Haines, et un trou creusé par un grand mammifère se trouvait à leur côté. Ils pénétrèrent dans l'antre du Marmot... Ils suivirent letunnelun certain temps avant d'aboutir dans une salle aux plus vastes dimensions. Devant eux, une marmotte géante, qui se métamorphosa en jeune garçon sous leurs yeux. (...)
Le Marmot leur remit chacun une peau de Loup d'Oniros (il avait passé les dernières années à tâcher d'en retrouver en Nocte en nombre suffisant pour réveiller tous les bellancoliques, mais avait échoué) et les guildiens, intrigués par cette histoire, acceptèrent d'emprunter la suite dutunnelqui débouchait dans le rêve des bellancoliques. Ils y arrivèrent à l'aube. La plaine était magnifique: les arôme de milles fleurs étaient portées par le vent, la plaine et la forêt qui l'entourait semblaient giboyeuses, la rivière qui la traversait n'était pas en reste et le poisson y sautait à satiété. (...)