Une Autre Voie de l'Ombre
sur Pénombre au format (116 Ko)
Cette aide de jeu s'inspire pour bonne partie de l'ancien supplément La Voie de l'Ombre. Bien qu'il reprenne également des éléments ou des concepts qui apparaissent dans la Voie du Ninja, et Hidden discrètement, mon travail fait volontairement l'impasse sur toute la storyline concernant la guerre contre l'Ombre et se concentre essentiellement sur la période 'classique' du jeu, allant des dernières années du règne de Hantei XXXVIII jusqu'au Second Jour des Tonnerres. A l ...Contient : marqué, marque (4)(...) Plus clairement, l'Ombre ne peut fortuitement découvrir la plupart du temps un mortel vulnérable que ci celui -ci estmarquépar un défaut de caractère assez fort pour se transcrire en tant que Désavantage. : Obnubilé, Jaloux, Vaniteux, Impétueux, Chagrin d'Amour, Compulsif, Fasciné, Cruel et autres travers du même genre sont autant de 'balises' qui attirent l'attention de l'Ombre sur des mortels qui ignorent jusqu'à son existence. (...)
Enfin, quelle que soient la forme et l'issue d'un affrontement onirique, la victime ne peut récupérer de Vide pour la nuit en question même si elle n'en avait pas utilisé à cette occasion. Marques d'Ombre : Se voir apposer unemarqued'Ombre entraîne automatiquement le gain d'un Point d'Ombre. Voir le chapitre 3 pour plus de détails. (...)
Marques d'Ombre : Les tatouages kage-yakiin de la famille Soshi ont grandement aidé l'Ombre à mieux comprendre comment elle pouvait agir sur le réel. ChaqueMarqued'Ombre accorde à son porteur un bonus de +0g1 à toutes ses actions lorsqu'il agit dans l'obscurité ou au coeur des ombres. Bien que l'acquisition d'uneMarques'accompagne d'un seul et unique Point d'Ombre, aucun porteur n'a jamais pu acquérir plus de trois marques et ce pour des raisons que l'Ombre elle -même a du mal à comprendre. (...)
Les Origines : En 904, le jeune Shosuro Hayato fit partie des shinobi sélectionnés pou r se voir tatouer uneMarqued'Ombre mais quelque chose d'inattendu se produisit : le tatouage se mit à bouger sur la peau d'Hayato, comme un être vivant se tordant de douleur en même temps que le jeune homme qui dut se résoudre à prendre quotidiennement d e l'opium en doses importantes pour que la souffrance lui soit supportable. (...)